une vie ailleurs
Lueurs du jour. Je m'éveille.
Sur le dos. Esprit vagabond.
Je te voudrais là.
Entendre le souffle de tes songes.
Le sourire de tes lèvres à la nuit qui s'achève.
Je rêve.
Frôle ta main. Posée là.
En attente.
File mes doigts entre les tiens.
Doucement.
Ne pas te réveiller. Pas encore.
Profiter.
Tournes la tête.
Ton sourire.
Le mien de voir le tien.
J'imagine.
Pensées coquines.
Envies.
Nue.
Les genoux ouverts.
Espérances.
Tu bouges.
Lâches ma main.
Viens te coller sur mon flanc.
Te respire.
Murmures.
Viens.
Yeux fermés.
Tu as glissé sur moi.
Ventre frémissant.
Sur le dos. Esprit vagabond.
Je te voudrais là.
Entendre le souffle de tes songes.
Le sourire de tes lèvres à la nuit qui s'achève.
Je rêve.
Frôle ta main. Posée là.
En attente.
File mes doigts entre les tiens.
Doucement.
Ne pas te réveiller. Pas encore.
Profiter.
Tournes la tête.
Ton sourire.
Le mien de voir le tien.
J'imagine.
Pensées coquines.
Envies.
Nue.
Les genoux ouverts.
Espérances.
Tu bouges.
Lâches ma main.
Viens te coller sur mon flanc.
Te respire.
Murmures.
Viens.
Yeux fermés.
Tu as glissé sur moi.
Ventre frémissant.
Ven 5 jan 2007
26 commentaires
si tu me mets de l'Appolinaire, à la fois brut ... et si vrai ... rha ...
bisous Ano
bisous Ano
blackevil
je viens mon amour ton souffle m habite euh je suis pas encore au point
poulbot - le 05/01/2007 à 18h09
tant qu'au moment où tu arrives tu es à point ;)
bisous mamour :D
bisous mamour :D
blackevil
Guillaume Apollinaire aurait bien une suite,je le vois, mais je vais attendre la tienne, je la sens deja tres ............. bisous coquins
miss - le 05/01/2007 à 18h36
je ne sais pas si je vais mettre un suite ...
je travaille un peu à l'aveugle en ce moment ...
bisous Miss coquine ;)
je travaille un peu à l'aveugle en ce moment ...
bisous Miss coquine ;)
blackevil
complètement magique ton blog, tous les sens sont en émoi
Isatys - le 05/01/2007 à 22h25
merchi Beaucoup :D
blackevil
Puis te sentir mouillée, puis te retourner,
Et entamer dans le petit matin,
Entre tes jolies fesses pommées,
Un profond va-et-vient avec mon vit sans fin...
Pour et à Toi... Bisous doux Cat, tout ça me fait penser à...
La boulangère
Boulangère jadis qui respiriez l'amour
Peloteuse de couilles
Vous souvient-il des années et des jours
Remplis par ma gidouille
Mon jeune braquemart allait aux galions
Que recelaient vos fesses
C'était mon vit mortaise et votre cul tenon
Jointés avec adresses
Le foutre ruisselait par la boulangerie
Où vous étiez captive
Et j'eusse en vain cherché dans la rue des Martyrs
Fesses plus bandatives
Guillaume Apollinaire.
Boulangère jadis qui respiriez l'amour
Peloteuse de couilles
Vous souvient-il des années et des jours
Remplis par ma gidouille
Mon jeune braquemart allait aux galions
Que recelaient vos fesses
C'était mon vit mortaise et votre cul tenon
Jointés avec adresses
Le foutre ruisselait par la boulangerie
Où vous étiez captive
Et j'eusse en vain cherché dans la rue des Martyrs
Fesses plus bandatives
Guillaume Apollinaire.
Ano - le 05/01/2007 à 23h21
rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
quel insatiable cet appolinaire, un vrai filou (S)
bisous Ano
quel insatiable cet appolinaire, un vrai filou (S)
bisous Ano
blackevil
J'ai fait un rève, non, tu ne sauras rien.
Bisous ma cat
DID - le 06/01/2007 à 18h36
je ne saurais rien, je ne te demande rien ma jolie tige ;)
gros bisous très coquins ;)
gros bisous très coquins ;)
cat - le 06/01/2007 à 20h02
Michka - le 07/01/2007 à 11h18
gros bisous michka Jedi :D
cat - le 07/01/2007 à 14h53
Murmures,
Yeux fermés, il glisse sur elle,
ventres frémissants,
moments "d'hésitations",
Ben oui mon gars : protection !
Parents = irruption !
Amour : ben point de... suspension !
Et alors retournement de situation,
Avant quand les trublions seront partis : la con-clusion...
Ano - le 07/01/2007 à 15h43
S'allonger sur ton corps doux et chaud, lové mon ventre dans ta vallée humide ;
et comme dirait Guillaume Apollinaire...
Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses
Et je veux l'avouer en dépit d'Avinain
Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses
Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses
Fera l'honneur abject des suçons sans venin
De ma mentule mâle en ton con féminin
Le sperme tombera comme l'or dans les sluices
O ma tendre putain tes fesse ont vaincu
De tous les fruits pulpeux le savoureux mystère
L'humble rotondité sans sexe de la terre
La lune chaque mois si vaine de son cul
Et de tes yeux jaillit quand tu les voiles
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles