une vie ailleurs
- Tu aimes ? - Oui ...Derrière toi. Collée à toi. Je presse mes lèvres sur ta nuque. Bouche entre-ouverte. Langue qui s'attarde.Main sur l'épaule.…
Dim 14 jan 2007
19 commentaires
oui la mélodie qui rassure, encourage, invite à l'audace du dépassement et des extravageances ...
cat - le 16/01/2007 à 07h04
Un coucou ! J'en pense beaucoup mais ne peux pas le dire ...
cajou - le 16/01/2007 à 22h11
fais comme tu le sens Cajou ...
Bisous
Bisous
cat - le 16/01/2007 à 23h22
Moi aussi j'aime beaucoup . vivement la suite ...
Bisous cat
Midori - le 17/01/2007 à 11h22
la suite, c'est pour demain :D
bisous Midori
bisous Midori
cat - le 17/01/2007 à 13h52
C'est bon, je reviens demain
Bisous......Piotr, homme bougie
Mémoire dune bougie
Je me souviens quand je suis devenue homme, quand il tronqua sa condition et me permit dendosser sa fonction.
Jétais une jolie bougie rouge, de belle taille... Hum, peut-être pas de la stature dun cierge, mais plutôt dune fort belle chandelle...
Je me souviens de ce sentiment de puissance, de pouvoir qui minonda, moi, simple flamme parmi les flammes, insignifiante flammèche qui allait dompter un volcan.
À lheure où je vous parle, je ne suis plus que le flamboiement dun souvenir, un moignon de paraffine rougeâtre, calciné et déformé posé sur le rebord de leurs consciences, mais, je me souviens...
Un tête-à-tête amoureux, des plats raffinés.
Un tête-à-queue damourette, des jeux paraffinés.
Quelle jouissance quand il me brandit comme un sceptre au-dessus de la femme attachée au montant de notre lit complice. Plus je me léchais les lèvres, plus mon envie brûlante noyait ses doigts cramoisis.
Quel homme ! Foin de souffrance, il goûtait, testait mes baisers quil allait offrir à son amour qui déjà se cabrait, se tendait vers nous.
Puis ce fut les préliminaires, mes préliminaires. Je la couvris de baisers en commençant par les pointes de ses mamelons tendus, gonflés, prêt à exploser. Je les recouvris dune gangue de pure douleur. Nouvelles ruades de mon aimée, elle râlait, elle suait, elle criait quelle nous aimait, moi... et mon homme.
De circonvolutions en circonvolutions, je la mordis de mes petites dents de soufre. Mon jus bouillonnant laissait des balafres vermeilles à la cicatrisation instantanée.
De petites touches en petites touches qui la firent se tendre comme une voile sous la tempête, Jarrivai devant ma destiné, devant léteignoir.
Elle haletait, elle connaissait ma position, mes envies. Elle subodorait les souffrances à venir, le plaisir quelle en retirerait. Elle sen délectait...
Puis vint ce moment de gloire, cet éternuement du temps qui fit de moi une verge chaude et luisante, un roi païen.
Là, mon homme me fit faire une pause, mais ma flamme était toujours gaillarde et mon sperme écarlate menaçait de déborder. Mon bienfaiteur minclina. Confrontation directe, tête à sexe, sexe à tête... et du con à lanus, mon jus recouvrit entièrement son intimité. Tremblement de chair, séisme et hurlement, jouissance pure... Et je la pénétrai et jamais ma mèche ne sen rallumera. Je la possédai en son sexe, entre ses reins, entre ses dents, entre ses seins. Je la pénétrai cent fois, mille fois, elle a joui, me noyant à son tour... et le retour express à la lumière, chute vertigineuse, le plancher, atterrissage douloureux, le sommier, loublie... et plus tard, la cheminée. Pauvre relique dans une soucoupe. Pauvre petite chose à la fonction détournée. Je voulus me prendre pour un Dieu et me suis brûlé le nez. Ce nétait pas moi quelle aimait...
Bisous......Piotr, homme bougie
Mémoire dune bougie
Je me souviens quand je suis devenue homme, quand il tronqua sa condition et me permit dendosser sa fonction.
Jétais une jolie bougie rouge, de belle taille... Hum, peut-être pas de la stature dun cierge, mais plutôt dune fort belle chandelle...
Je me souviens de ce sentiment de puissance, de pouvoir qui minonda, moi, simple flamme parmi les flammes, insignifiante flammèche qui allait dompter un volcan.
À lheure où je vous parle, je ne suis plus que le flamboiement dun souvenir, un moignon de paraffine rougeâtre, calciné et déformé posé sur le rebord de leurs consciences, mais, je me souviens...
Un tête-à-tête amoureux, des plats raffinés.
Un tête-à-queue damourette, des jeux paraffinés.
Quelle jouissance quand il me brandit comme un sceptre au-dessus de la femme attachée au montant de notre lit complice. Plus je me léchais les lèvres, plus mon envie brûlante noyait ses doigts cramoisis.
Quel homme ! Foin de souffrance, il goûtait, testait mes baisers quil allait offrir à son amour qui déjà se cabrait, se tendait vers nous.
Puis ce fut les préliminaires, mes préliminaires. Je la couvris de baisers en commençant par les pointes de ses mamelons tendus, gonflés, prêt à exploser. Je les recouvris dune gangue de pure douleur. Nouvelles ruades de mon aimée, elle râlait, elle suait, elle criait quelle nous aimait, moi... et mon homme.
De circonvolutions en circonvolutions, je la mordis de mes petites dents de soufre. Mon jus bouillonnant laissait des balafres vermeilles à la cicatrisation instantanée.
De petites touches en petites touches qui la firent se tendre comme une voile sous la tempête, Jarrivai devant ma destiné, devant léteignoir.
Elle haletait, elle connaissait ma position, mes envies. Elle subodorait les souffrances à venir, le plaisir quelle en retirerait. Elle sen délectait...
Puis vint ce moment de gloire, cet éternuement du temps qui fit de moi une verge chaude et luisante, un roi païen.
Là, mon homme me fit faire une pause, mais ma flamme était toujours gaillarde et mon sperme écarlate menaçait de déborder. Mon bienfaiteur minclina. Confrontation directe, tête à sexe, sexe à tête... et du con à lanus, mon jus recouvrit entièrement son intimité. Tremblement de chair, séisme et hurlement, jouissance pure... Et je la pénétrai et jamais ma mèche ne sen rallumera. Je la possédai en son sexe, entre ses reins, entre ses dents, entre ses seins. Je la pénétrai cent fois, mille fois, elle a joui, me noyant à son tour... et le retour express à la lumière, chute vertigineuse, le plancher, atterrissage douloureux, le sommier, loublie... et plus tard, la cheminée. Pauvre relique dans une soucoupe. Pauvre petite chose à la fonction détournée. Je voulus me prendre pour un Dieu et me suis brûlé le nez. Ce nétait pas moi quelle aimait...
Piotr Goradd - le 17/01/2007 à 16h42
merci beaucoup, ton texte est magnifique et si vivant ... j'admire :D
bienvenue dans mon autre ailleurs Piotr :D
bienvenue dans mon autre ailleurs Piotr :D
cat - le 17/01/2007 à 20h52
Je suis très sage
j'aime!!.....
Mais ne dit rien.........
Bisous sous ton St.. gaufré blanc...
Granit Rose
Granit Rose - le 17/01/2007 à 23h11
hum ... ma muse qui me rend visite ... je souris ...
demain ... tu me diras demain .. où vont tes rêves ..
bisous Mon granit chéri
demain ... tu me diras demain .. où vont tes rêves ..
bisous Mon granit chéri
cat - le 17/01/2007 à 23h14