une vie ailleurs
Je ne sais pas si nous sommes raisonnables. Je ne sais pas. Je ne veux pas savoir. Je ne veux pas penser à demain. Je veux vivre. Maintenant. Je veux vivre sous tes mains. Sous tes caresses. Je veux me durcir de ta tendresse. De tes audaces.
De ta bouche qui me parcourt. Qui se pose ici et là. C'est à ça que je rêve. C'est cela dont j'ai envie. Tu m'intimides. Presque redevenue neuve. Presque redevenue innocente.
Envie de tout réapprendre. Autrement. Dans la magie d'un amour physique. Dans la passion de l'envie. Sans rien mélanger. Sans rien confondre. Juste prendre. Juste donner. Simplement recevoir.
Et me perdre ...
Il faut aller jusqu'au bout de la falaise, ragarder tout en bas, avoir la tête qui tourne. Jouir de ce vertige en prenant garde de ne pas tomber.
C'est T beau. Et la photo aussi...
ou se laisser totalement envelopper par le plaisir et le partage ?
merci Kristophe :D
J'aurais pu le dire plus tôt ...
j'aime te lire et te decouvrir, quel bonheur que tu es enfin accès au numérique ....
Bises.
Bisous
gros bisous quand même :D
un durcissement, un frémissement, un gémissement.
Une douce chaleur envahissante qui se tranforme petit à petit en un feu ardent qui déchaine la passion torride de deux êtres qui s'embrasent ensemble dans un tourbillon de folie
Bisous ma cat
bisous Jolie Tige
Se perdre dans les profondeurs d'un ébat sans fin,
Et s'aimer sans relâche jusqu'au petit matin,
Puis goûter sur tes lèvres et ta langue salées,
La saveur de l'amour à travers ton baiser...
Pour toi. Bisous inspirés
Comme une grande fleur ...
Parfois, toute en mes bras, tu renverses ta taille
Et plonges dans mes yeux tes beaux yeux verts ardents,
Avec un long sourire où miroitent tes dents...
Je t'enlace ; j'ai comme un peu de l'âpre joie
Du fauve frémissant et fier qui tient sa proie.
Tu souris... je te tiens pâle et l'âme perdue
De se sentir au bord du bonheur suspendue,
Et toujours le désir pareil au coeur me mord
De t'emporter ainsi, vivante, dans la mort.
Incliné sur tes yeux où palpite une flamme
Je descends, je descends, on dirait, dans ton âme...
De ta robe entr'ouverte aux larges plis flottants,
Où des éclairs de peau reluisent par instants,
Un arôme charnel où le désir s'allume
Monte à longs flots vers moi comme un parfum qui fume.
Et, lentement, les yeux clos, pour mieux m'en griser,
Je cueille sur tes dents la fleur de ton baiser ! ...
Albert Samain (Le Chariot d'Or)...
au diable la raison , il saura quoi en faire ....
la chenille devient papillon
bisous Black Cat