une vie ailleurs
Décidemment, je ne comprenais plus... Je restais interdit, fasciné par ses deux femmes, provocatrices à souhait. Elles faisaient de moi, le spectateur privilégié de leurs jeux ... peut-être feraient-elles de moi leur partenaire privilégié ... Foncine tenta de prendre la bouche d'Ondine, qui se déroba, quelque peu gênée, laissant toutefois échapper un petit rire coquin... Mais à quoi jouaient-elles ?
Ondine, dans un soupir, nous lança : "J’accepte de faire l'amour avec vous deux, mais à la seule condition que vous vous occupiez de moi exclusivement. Foncine, je ne veux pas que tu joues avec Eros, je veux que tu joues avec mon corps, mes sens. Je veux que vous me fassiez jouir, je veux que vous vous concentriez sur mon seul plaisir, m’offrant ainsi le luxe d'une totale passivité, à moins que je ne change d'avis". Il y a longtemps que je t’aime …
Je n'en revenais pas. Mais l'idée de partager mon amante, de la laisser être le jouet
d’une autre femme sous mes yeux, de pouvoir participer à cette débauche des sens, dans l’unique but de combler ses désirs m’excitait au plus au point. Je ne ressentais aucune frustration à la
pensée que je ne serais pas le jouet de ces deux femmes, que toutes mes attentions, mes forces devront se concentrer sur la femme que j’aime. Assister à ce spectacle, y participer me faisait
bander autant que cela m’intimidait. Jamais je ne t’oublierai …
Illustration de Bécat.
baisers humides ...
Bien exigente Ondine, mais elle a bien raison. :o)
enfin, ce n'est pas moi qui ai écrit ... :)
oui elle colle parfaitement
Bisous ma cat'
ne jamais dire, fontaine je ne boirai pas de ton eau ;)
éh éh éh
la suite arrive la suite arrive ;)
patience
plein de bisous à toi :D