une vie ailleurs

Je te comprends ca donne bien envie ce matin   bisous coquins 

n'est ce pas hein ;)

bisous bisous

Géométrie variable, tiens ça me dis quelque chose ça... lol

que veux tu, je pratiquais, mais le nom que tu as donné à cette pratique me plait beaucoup :D

bisous

Petite géométrie variable alors ;-)
Bisous

c'est très appréciable ...

bisous ;)

Bonsoir cat'
Je viens de lire ton commentaire sur mon post que j'ai écrit sur  guilaume et là je ne suis pas d'accord avec toi ... quand comme lui on a connu la souffrance on sait que l'une des possibilité pour oublié c'est de se livré a tous les excés. Et en ce qui concerne ses rapports avec son pere c'est autres choses oui ils se sont affronter mes je pense que c'est normal vu leurs caractéres. Je comprends le besoin qu'il avait de se détruire en quelque sorte mais c'est avant tout pour s'arracher à sa souffrance physique.. il était jeune trop jeune mais c'est comme cela avec les Grands ...
Il est difficile de comprendre je me doute mais moi je sais ce que vaut la douleur et quelque part moi aussi à ma façon je lui ressemble.
Je t'embrasse

je ne parlais pas de ses rapports à son père, je ne les connais pas, et il me semble que seuls eux deux, et sa mère, Elisabeth et sa soeur Julie, ont le droit d'en parler.

ensuite il n'y a pas que lui qui a connu des souffrance, et oui, pour oublier on fond dans les excès pour se détruire, mais à un moment la vie, si elle nous en a donné le temps, nous montre que peut etre si l'on arrive pas à se détruire, on peut peut etre essayer de se construire.

la vie lui a laissé le choix, ou pas ... aujourd'hui il est mort.
je ne le juge pas, je n'ai pas à le faire.

j'ai connu les excès, et j'ai toujours dit que j'avais eu vraiment beaucoup de chances de n'avoir jamais fait de mauvaises rencontres lors de mes nombreux excès ...
j'ai failli mourir il y a 5 ans ... mourir d'un empoisonnement à un anti biotique, c'est une chose horible qui ne me quitte pas. pour preuve, je prends actuellement des anti biotiques sans peniciline (chose qui a failli me tuer) et des anti inflammatoires, n'empêche qu'à chaque fois que je prends un traitement, je pense à ce jour, aux sensations, aux douleurs qui s'en sont suivis, et la peur ... la peur que ce jour là, j'aurais dû etre morte

ce jour là, j'ai compris que la mort ne voulait ps de moi, alors plutot que de continuer à me détruire, il valait mieux que j'apprenne à me construire.

Guillaume, avec toute la souffrance qu'il a porté en lui, bien plus à mon avis, de la société que des rapports à son père, même si cela n'est bien sur pas négligeable, n'a pas, comment dire l'exclusivité de cette vie là
ce qui est arrivé arrive à d'autres, des inconnus.

aujourd'hui, il n'est plus, enterré ce matin, il faut lui laisser sa vie, et c'est tout. respecter ce qu'il a fait, ce qu'il a choisi, ce qu'il a été.

je pense aujourd'hui, à son père, sa mère, sa soeur, et sa petite fille, les gens qui l'aiment ... le plus dur aujourd'hui, c'est pour tout cela ...

lui il a vécu sa vie en conformité avec ce qu'il était, il n'a pas plié, un vrai réfractaire et il a eu raison ... j'ai beaucoup de respect pour lui ... d'autant qu'il ne s'est jamais caché derrière des choses pour justifier ses choix, et surtout pas derrière ses rapports à son père. sa vie a été ce qu'elle a été, parce que c'était lui, et seulement lui ...

la vie c'est une affaire entre soi et soi même ... après c'est une histoire de circonstances ...


je t'embrasse ;)