une vie ailleurs
"Vous avez un sens de l'humour si délicieux - j'adore cela chez vous. Je veux vous voir rire, toujours. Cela vous appartient. J'ai pensé à des endroits où nous devrions aller ensemble - des petits endroits inconnus, ça et là, dan Paris. Juste pour dire- je suis venu ici avec Anaïs - ici nous avons mangé, ou dansé, ou bu ensemble. Ah ! vous voir soûle un jour - quelle merveille ! Anaïs, j'ai presque peur d'en parler - mais, lorsque je pense à la façon dont tu te presses contre moi, dont tu écartes les jambes, impatiente et tellement mouillée, mon Dieu, cela me rend fou d'imaginer ce que tu seras, quand toutes les barrières seront tombées. Hier, en allant à la police, en faisant la queue ici et là, je pensais à toi, je te revoyais pressant tes jambes contre moi, debout, je voyais la pièce basculer, tandis que je tombais sur toi dans le noir, sans plus rien savoir. Et j'ai tremblé, j'ai gémi de plaisir. J'avais envie de courir te téléphoner - et ce fut mon tour."