une vie ailleurs



Tu viens à moi. Tendre. Peureux aussi.

L'offre est alléchante. Les tétons. Le galbe. Tu as envie de tout. Tu ne sais pas par où commencer. Tu ne sais si tu sauras. Tu ne sais si tu parviendras.

Accomplir des promesses faites mille fois en rêve. Etre à la hauteur de tes désirs. A la hauteur des miens. Oublier avant. Réinventer ce que tu sais déjà.

Laisse toi aller. Je serais docile. Ils se tendent vers toi.

Ma main a choisi un autre chemin. Le tien.

Elle veut te rassurer à son tour. Te montrer que tu seras là. Que tu nous permettras de nous accomplir. Ensemble. Dans un même désir.

 Une même écoute.
Sam 3 fév 2007 22 commentaires
je saurais je saurais lol
poulbot - le 03/02/2007 à 06h26
j'en suis sûre Mon amour ... j'en suis sure :D
blackevil
fan, je suis fan, bon week end
DID - le 03/02/2007 à 08h35
yesssssssssssssssssssssssssssssss
j'ai un fannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

bisous ma jolie tige
blackevil

L'écoute :


De ton corps qui tressaille,


Et ton ventre qui murmure,


Quand je te prends par la taille


Et goûte tes tétons tout durs,


Glissant vers ton temple rose et pûr,


Dont je déguste la saveur délicate,


J'y entame un prélude goûteux,


à nos jeux amoureux...


Ano.


Pour toi, ce poème de Miriam Naili, avec une couverture de bisous....


Ondine

 



Tu as l'âge de ma fille
Je t’aime maladroitement
Je n'ai plus tes printemps
Et je le vois, je sens
Qu'un autre temps t'attend

Coquine

Tu préfères le vent
Son souffle est ton émoi
Que faire quand la nature
A toute ta préférence
Quand le matin tu ris
Et quand le soir tu danses
Sur ces airs surannés
Sur ces pas de romance ?

Divine

Ton âme sourit à ceux
Qui tutoient les nuages
Moi je suis trop sérieux
Et toi, tu n’es pas sage
Qu’ai-je à faire de mieux
Que d’attendre que l’âge
Malgré les illusions
Te rende plus raisonnable

Morphine

Oui tu es ma passion
Ma dernière aventure
La prunelle de mes yeux
Jeune et jolie bouture

Libertine

Mais je vois que tu chantes
Et je te sens ailleurs
Tu pleures et tu gémis
Tu ne veux plus mes fleurs

Crétine

Tu voudrais t’envoler
Mais tu ne le peux pas
Tu aimes trop l'argent
Et ses nombreux appâts

Ano - le 03/02/2007 à 10h27
je n'ai pas aimé, Crétine ... ça ne me ressemble pas du tout ... à l'opposé de moi ... je n'aime pas l'argent, je pense que l'argent sali tout ...

sinon, tout le reste est très beau, j'aime beaucoup ...

bisous doux ano
blackevil

Merchi... Oui je sais que le dernier poème ne te ressemble pas, mais par respect de l'auteur, je ne pouvais l'enlever comme tu l'as bien compris d'ailleurs,


sinon le reste, disons le tout, j'ai trouvé, était très beau pour toi... Et comme rien n'est trop beau pour toi... Bisous doux.

Ano - le 03/02/2007 à 10h42
euh ... piuffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff ... je vais être toute rouge ... moâ ...
bisous ano
cat - le 03/02/2007 à 10h56
mefie toi de ceux qui ont une grande langue , ils ne savent pas toujours s'en servir !!!!!(non pas de nom!)  bisous coquins
miss - le 03/02/2007 à 20h41
euh, qui a une grande langue ????

bisous Miss ;)
cat - le 03/02/2007 à 22h15

J'adore, trop mignon... Cadeau....


 





Microsoft(XP)
envoyé par lagarderre
Ano - le 04/02/2007 à 17h59
rho il a perdu le mode d'emploi, pourtant, c'est facile ...
bisous
blackevil

Et en lisant ce poème de Pierre Louys, j'ai tout de suite pensé à toi... Il va bien à tes mots, il te va bien, il va bien à tes seins, galbés pour le moule d'une main, tendus vers le fruit goûteux de leur destin... Bisous inspirés.


Les seins de Mnasidika

Avec soin, elle ouvrit d'une main sa tunique
et me tendit ses seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.

'Aime-les bien', me dit-elle; 'je les aime tant!
Ce sont des chéris, des petits enfants.
Je m'occupe d'eux quand je suis seule.
Je joue avec eux; je leur fais plaisir.

Je les lave avec du lait. Je les poudre
avec des fleurs. Mes cheveux fins qui les
essuient sont chers à leurs petits bouts.
Je les caresse en frissonnant.
Je les couche dans de la laine.

Puisque je n'aurai jamais d'enfants,
sois leur nourrisson, mon amour; et,
puisqu'ils sont si loin de ma bouche,
donne-leur des baisers de ma part.'
Ano - le 04/02/2007 à 18h06
je déteste la phrase, puisque je n'aurai jamais d'enfants ... j'espère que si ... j'espère que j'aurais ce bonheur ...

bisous ANo
blackevil

Lol ! Comme l'autre poème on prend tous les vers hein sinon l'auteur nous tue,


mais ça tu le sais, et globalement c'est beau : non il allait simplement bien ce poème à tes jolies seins... Et la fille semble s'offrir comme toi : avec sincérité, plaisir et amour... Donc dans ce cas, ben on prend ce qu'on a la chance de se voir offrir et on déguste, lol... Il te va bien ce poème,


j'aime habiller tes seins blancs dénudés de vers, s'en en avoir l'air, laisse moi faire, laisse toi faire...


Bisous inspirés...

Ano - le 04/02/2007 à 22h35