une vie ailleurs
Vois comme tu m'aimes
Comme tu me parles
Je ne saurais plus
En faire un drame
J'ai l'âme en peine
J'ai le coeur en panne
Tu ne m'aimes plus
Que par mégarde
Bisous
Ensuite "Sentiment nouveau", parce que (en plus), il y a la mer, et que tu aimes la mer... Bisous tendres.
bisous
je suis contente d'avoir cliqué avant de partir bosser :D
j'adore aussi le clip qu'il a tourné avec mylène farmer ... en fait, j'adore ...
bisous et merchi pour ce cadeau
Cat, rien n'est trop beau pour toi, je suis heureux de te faire plaisir, et pour ne pas que tu aie de "REGRETS", voilà le clip que tu voulais... Bisous dévoués...
bisous ano
Allé qu'on on aime on ne compte pas : pour finir la série, d'abord le clip "Au dedans de moi" ;
ensuite un extrait où Murat allume - et il fait bien - la rédactrice en chef d'un "torche cul"...
Et enfin un poème pour ton joli balconnet Cat. J'ai "appelé" Murat : "Un poème pour le balconnet de Cat ?"
Je réponds : "Mouais tu penses à quoi ?"
"Attends je mate son blog... Waouh bien foutue la p'tite ! Bah envoie lui Le Balcon de Baudelaire ça ira sûrement bien aux jolis seins qu'elle met sur son blog. Et dis lui que je l'embrasse où elle veut !"
Ben tiens...
et Murat, s'il me rencontrait, il ne me regarderait même pas ...
bisous
ma signature d'avatar lui sierait à merveille "je ne suis pas diplomate, je dis et c'est tout"
il a raison ... mais qui n'a jamais acheté ce genre de magasine ...
Le balcon
Ô toi, tous mes plaisirs ! ô toi, tous mes devoirs !
Tu te rappelleras la beauté des caresses,
La douceur du foyer et le charme des soirs,
Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses !
Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon,
Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses.
Que ton sein m'était doux ! que ton coeur m'était bon !
Nous avons dit souvent d'impérissables choses
Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon.
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées !
Que l'espace est profond ! que le coeur est puissant !
En me penchant vers toi, reine des adorées,
Je croyais respirer le parfum de ton sang.
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées !
La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison,
Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles,
Et je buvais ton souffle, ô douceur ! ô poison !
Et tes pieds s'endormaient dans mes mains fraternelles.
La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison.
Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses,
Et revis mon passé blotti dans tes genoux.
Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses
Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux ?
Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses !
Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis,
Renaîtront-il d'un gouffre interdit à nos sondes,
Comme montent au ciel les soleils rajeunis
Après s'être lavés au fond des mers profondes ?
- Ô serments ! ô parfums ! ô baisers infinis !
j'avais adoré quand Vénus était sorti, il avait fait la promo sur canal, avouant qu'il écrivait les textes de manière très rapide ... parce que c'est vrai ... le ressenti, les envies, ça se pense longtemps avant, et pendant longtemps, mais quand les mots jaillissent tout va très vite ...
bisous
ps : tu vas faire fuir tout le monde avec tous tes coms lol lol
C'est tout vu
gros bisous
Rhaaa : Jean-Louis Murat ! J'adore ! Un ami peintre de Saint-Etienne a illustré son livre-recueil de poèmes sur "Madame Deshoulières" (Editions des cahiers intempestifs), suite de lettres érotiques magnifiques (textes choisis par Jean-Louis, et dessins de l'artiste)... Ça a donné un clip d'enfer avec Isabelle Huppert...
J'aime ce que fait cet artiste, qui écrit beaucoup sur ses expériences persos ; qui passe pour une grande gueule dans les médias, ce qui est faux : il dit simplement tout haut ce que d'autres pensent tout bas... Bref il a des couilles, et en plus une sensibilité à fleur de peau... Tout pour plaire. On se ressemble et j'aime bien... Bisous et deux cadeaux pour toi (et tes fidèles du blog)...
D'abord "Cours dire aux hommes faibles", car le clip est très bien fait, et son modèle nue sublime...
Murat - cours dire aux hommes faibles
envoyé par henryspencer