une vie ailleurs
C'est alors que nous nous sommes détachés. Pas d'autre mot. Détachés. J'aurais pu dire séparés. J'aurais pu dire déboités. Non. Nous nous sommes détachés. C'est la magie des rêves. On se détache des lieux. Nous nous sommes détachés du lieu. Nous étions courant dans un couloir particulièrement blanc, comme si nous cherchions à nous cacher de ces rires. Oui. De ces rires. Et pourtant, nous riions, nous-même dans cette fuite des bruits. Comment le sais-je ?Tu as raison, je n'entendais pas. Je voyais. Je voyais ton visage illuminé et heureux. Je devinais les visages des autres détachés dans le rêve, et donc laissés dans un autre ailleurs.
Soudain surgit un grand bac à douche. Très blanc. Couvert par de grands rideaux cirés tout aussi blanc. Maintenus, eux, par une pince à linge. Alors que durant tout le reste du rêve, nous étions aux yeux et à la vue de tous, parmi eux, sans qu'à un seul moment, ils n'aient eu conscience de nous.La magie du rêve avait fait que, seuls, nous éprouvions le besoin de nous cacher.
Nous sommes donc entrer dans la douche.
Et la vue s'est dérobée à moi. La magie du rêve. Je nous ai vu dans la douche. Je me suis vue de nouveau empâlée par toi, par ton vigoureux. Je me suis vue. Je nous ai vus, heureux et souriants. Je nous ai vus reprendre le balancement doux des hanches. Et je n'ai plus rien vu.
Mais, j'ai continué de sentir ta puissance dans mon ventre. J'ai continué de sentir ton bonheur. J'ai continué de sentir mon plaisir d'être avec toi, d'être complètement là. Corps et âme. Dans ce rêve.
Et je me suis éveillée à un jour nouveau. Doucement. Et, le croiras-tu si je te dis que j'avais les genoux écartés, l'entrejambe humide ? Le croiras-tu si je te dis, que j'avais dans le lit, le balancement du rêve ? Le doux balancement de mes hanches contre les tiennes ?
Alors dans une demi sommeil, encore emprunte de la magie du rêve, j'ai glissé ma main vers mon intimité. Je suis allée vite, alors que j'aime aller doucement. Je ne me suis pas caresser. Non. Je ne peux pas dire que c'étaient des caresses. Non. Je voulais me finir, m'achever. Je voulais aller vite pendant que les images et les sensations du rêve embaumaient encore mon cerveau. Je voulais aller vite. Alors pardon mon doux bouton, je t'ai travaillé d'arrache main ... je t'ai astiqué vigoureusement ... pour que très vite monte du fond de mon ventre, la sensation du plaisir qui conduit à la jouissance. Très vite. Très vite .... Trop vite.
Le plaisir était venu trop vite, emportant avec lui les images du rêve. Et pourtant. J'écris le rêve. J'écris la sensation. Et je ressens toujours ta queue dans mon ventre. Et je me sens redevenue humide de cette sensation. Et je revois ton sourire sur tes lèvres et dans tes yeux. La douce puissance de tes mains sur mes hanches. Et le balancement ... le balancement sans fin ...
Soudain surgit un grand bac à douche. Très blanc. Couvert par de grands rideaux cirés tout aussi blanc. Maintenus, eux, par une pince à linge. Alors que durant tout le reste du rêve, nous étions aux yeux et à la vue de tous, parmi eux, sans qu'à un seul moment, ils n'aient eu conscience de nous.La magie du rêve avait fait que, seuls, nous éprouvions le besoin de nous cacher.
Nous sommes donc entrer dans la douche.
Et la vue s'est dérobée à moi. La magie du rêve. Je nous ai vu dans la douche. Je me suis vue de nouveau empâlée par toi, par ton vigoureux. Je me suis vue. Je nous ai vus, heureux et souriants. Je nous ai vus reprendre le balancement doux des hanches. Et je n'ai plus rien vu.
Mais, j'ai continué de sentir ta puissance dans mon ventre. J'ai continué de sentir ton bonheur. J'ai continué de sentir mon plaisir d'être avec toi, d'être complètement là. Corps et âme. Dans ce rêve.
Et je me suis éveillée à un jour nouveau. Doucement. Et, le croiras-tu si je te dis que j'avais les genoux écartés, l'entrejambe humide ? Le croiras-tu si je te dis, que j'avais dans le lit, le balancement du rêve ? Le doux balancement de mes hanches contre les tiennes ?
Alors dans une demi sommeil, encore emprunte de la magie du rêve, j'ai glissé ma main vers mon intimité. Je suis allée vite, alors que j'aime aller doucement. Je ne me suis pas caresser. Non. Je ne peux pas dire que c'étaient des caresses. Non. Je voulais me finir, m'achever. Je voulais aller vite pendant que les images et les sensations du rêve embaumaient encore mon cerveau. Je voulais aller vite. Alors pardon mon doux bouton, je t'ai travaillé d'arrache main ... je t'ai astiqué vigoureusement ... pour que très vite monte du fond de mon ventre, la sensation du plaisir qui conduit à la jouissance. Très vite. Très vite .... Trop vite.
Le plaisir était venu trop vite, emportant avec lui les images du rêve. Et pourtant. J'écris le rêve. J'écris la sensation. Et je ressens toujours ta queue dans mon ventre. Et je me sens redevenue humide de cette sensation. Et je revois ton sourire sur tes lèvres et dans tes yeux. La douce puissance de tes mains sur mes hanches. Et le balancement ... le balancement sans fin ...
Jeu 24 mai 2007
6 commentaires
C'est vrai heureusement que nos mains sont là aussi instinctivement, fidèles, voluptueuses, inspirées, pour finaliser avec bonheur le fruit de nos fantasmes et de nos rêves... Je te prête les miennes quand tu veux... Bisous mouillés.
Ano - le 24/05/2007 à 09h32
lol lol lol lol lol lol lol j'ai jamais rêvé de toi ^^
bisous
bisous
blackevil
Sympa les histoires. Il y en a aussi sur :
MarieChristine - le 24/05/2007 à 23h37
j'évite de lire des histoires écrites par d'autres pour ne pas faire ce que l'on appellerait du plagia ... je préfère que mes écrits sortent de ma tête, de mes rêves, de ma réalité aussi, plutot que de me laisser imprégner par les histoires des autres
mais merci du conseil
mais merci du conseil
blackevil
coucou, ouaaaaaaaa il y avait longtemps que je n'était pas venu huuum c'est toujours aussi agréable ichi ;-)
Guigui - le 25/05/2007 à 10h49
rho mon guigui, j'espère que tu vas bien ... je pense fort à toi en cette fin d'année scolaire ;)
blackevil
un rêve très prenant...merci de nous l'avoir confié...
bisous tout plein
ergad - le 25/05/2007 à 18h00
un rêve qui m'a surprise, j'aime bien etre surprise
merci à toi
merci à toi
blackevil
Un beau récit... Pas facile de raconter un rêve ! Et là pourtant, vous donnez au lecteur l'impression de rêver avec vous...
L'Eronaute - le 01/06/2007 à 01h05
merci l'Eronaute ... cela n'a pas été simple d'autant qu'il s'agit réellement d'un rêve
blackevil
un plaisir de te lire bonne journée
vinncen - le 06/06/2007 à 08h00
Merci Vinnce
Bonne journée
Bonne journée
blackevil