Samedi 9 février
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22:33
Vu de toi "Petit morceau de satin ou de soie,Que je porte contre moi, ou pas,Reflet dans l'âme du tissu,De tout ce qu'il ne voit pas,Achat de soi, ou cadeau malin,Petite complice de choix pour les câlins..."
Vu de moi "Petites jarretelles, objets d'émoi, Vous qui ornez ses cuisses au chaud, Vous avez de l'avance sur moi, Frôlant la douceur de sa peau, Un jour je vous kidnapperai, Et du fond du tiroir, pendant que je l'aimerai, Vous pourrez supplier pour nous rejoindre, Vous n'y retournerez, qu'après le plaisir poindre..."
Les mots de mon n'amoureux.
Photo de moi.
Par blackevil
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Lundi 4 février
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14:05
"Penchée sur ta tâche, le front baissé,
La mêche blonde presque envolée,
Le regard perdu et l'esprit concentré,
J'adore en t'aimant te regarder,
Tu sembles en paix avec toi-même,
Loin des ruses des dragueurs invétérés,
Te voir ainsi près de moi j'aime,
A l'abri de ces hommes intéressés,
Je passe mon regard dans tes cheveux blonds,
Sur ta joue, sous ton menton,
J'envole mes baisers doucement sur ton front,
En louant le moment où nous nous retrouvons."
Mon N'amoureux.
Vains Espoirs.
Rodin
Par blackevil
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Mardi 22 janvier
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00:21
Je vous présentais ICI (Cliquez) mon nouveau modèle.
Je vous le présente en photo maintenant.
Croyez vous que je puisse continuer à le croquer ?
Merci Patrick.
Par blackevil
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5
Jeudi 27 décembre
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00:22
Le petit chat
Enfin dans ta chambre chérie
Ayant pénétré malgré toi,
Ta gentille ménagerie
Hier a paru devant moi.
Ton musée, aimable Rosine,
Sans doute n'est pas sans éclat ;
Mais le plus joli, ma cousine,
C'est, à coup sûr, ton petit chat.
Tu te plains de ce que naguère
Négligeant tes jeunes appas,
Avant mon dépat pour la guerre,
De toi je ne m'occupais pas.
Sur le minet d'une voisine,
Si j'ai commis doux attentat,
C'est qu'en ce temps-là, ma cousine,
Tu n'avais pas de petit chat.
Pour nous charmer à l'improviste,
En vain tu cachais ces trésors.
Moi, curieux naturaliste,
Pour les voir j'ai doublé d'efforts.
Mais voir est trop peu, j'imagine,
Voir n'amène aucun résultat :
Ah ! permets-moi, chère cousine,
De caresser ton petit chat.
Tu souffres que sur sa parure
Je promène un doigt empressé,
Mais tu veux que de sa fourrure
Le duvet ne soit pas froissé.
Vas, ne crains rien pour son hermine,
Mon doigt est fort, mais délicat,
Vois, il fait faire, ma cousine,
Le gros dos à ton petit chat.
Toujours désireux de te plaire,
Ah ! sans lui vouloir aucun mal,
Que j'aimerais à satisfaire,
Ce petit gourmand d'animal.
Si d'un coup de griffe assassine
Je n'avais peur qu'il me payât.
Sois franche et bonne, ma cousine,
Dis-moi, mord-il ton petit chat ?
Dès qu'entre ses lèvres de rose
Minet sent mon doigt friponner,
Vois le petit gueux comme il ose
Le serrer et l'emprisonner.
Je veux de son ardeur mutine
Punir le petit scélérat,
Dis-moi, sans peine, ma cousine,
Fait-on pleurer ton petit chat ?
Quelle délicatesse extrème !
A peine si je l'ai foulé,
Et pour deux coups, fort légers même,
Déjà ses larmes ont coulé.
Mais pour cela, chère Rosine,
Ne vas pas me faire sabbat,
Car tu jouissais, ma cousine,
Lorsque pleurait ton petit chat.
Quelques mots inspirés
de Paul-Emile Debraux.
Merci à Valmont de me les offrir.
Par blackevil
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Mardi 20 mars
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00:13
"Ses mains couraient sur mes reins,
Mon temple innonda les draps,
Sa bouche voyageait sur mes seins,
Mon ventre accueillit ses doigts,
De sa langue, il agaçait mes tétons,
Durcis. Elle glissa vers mon écrin,
Pour me lécher avec entrain,
Et de supplice en excitations,
Je jouis dans sa bouche avec passion."
Texte de Ano.
Par blackevil
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4
Vous