facàface


Vendredi 5 décembre 5 05 /12 /Déc 09:40
Over-blog, devenu Erog-blog ... bon, nous sommes passés sur un serveur uniquement adulte. Soit ! Je ne paye pas pour ce blog, je ne paye donc pas pour avoir de la pub dessus ... et encore moins de la publicité vulgaire et pornographique.

Depuis hier, la plateforme nous impose cette bannière horrible.

Je suis écoeurée, d'autant que le design de mon blog est en cours de changement, et ne va pas du tout dans le sens de cette horreur imposée.

Parce que c'est gratuit, doit-on tout accepter ?

Il y a quelques temps nous avions déjà exprimé notre mécontentement de voir apparaitre des fenêtres incitant à cliquer, pour discuter en ligne ... aujourd'hui, on nous impose cette monstruosité ...

JE NE SUIS PAS D'ACCORD ... et voir ce truc en haut de mon blog me pose un sérieux problème.

Sachez, lecteurs, que cette chose n'est nullement un désir de ma part en ce lieu ...


Par blackevil - Publié dans : facàface - Communauté : Hommage à la Féminité
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Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 00:43

Laissés là, les amants
Tendrement enlacés
Encore frémissants
De s'être tant aimés.

 


Laissés là, les amants
Coquinement encannaillés
Et insouçiants
Doucement s'entre-mêlés.






Texte de Cat, déjà publié
en Octobre 2006
sur Lord.over-blog.com.
Sculpture de Rodin,
photographiée par Cat
en août 2006.
Par blackevil - Publié dans : facàface
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 00:01

« On essaye ? »

 


Ce n'est pas un "fouillis" mais bien de jolies lèvres qui n'attendent plus qu'une chose...........qu'on s'occupe d'elles. Et si je te disais qu'en t'écrivant........je bande ! Comme tes lèvres, mon gland est ruisselant de désir. Oui ! Si j'étais là, ma bouche te dévorerait et je sens que ma langue se mettrait bien au chaud à l'entrée de ta vulve.

Et si je te disais que je repense aux premiers mots que nous avons échangés, à la première fois où j’ai posé mes yeux sur la courbe de tes reins. Si je te disais que j’ai imaginé cent fois que tu avoues ton désir pour moi.

Ton corps est tout bouillant et blottie contre moi je te caresse, n’oubliant de mes mains aucun de tes recoins. J’ai soif de toi et mes lèvres se régalent au toucher de tes seins. Tu tiens mon sexe tout dur et je sens que ta bouche a soif de mon plaisir.

J’ai au creux du ventre cette sensation si particulière, cette sensation où se mélangent savamment la peur et le désir irrésistible de l’autre.

Je n’ai jamais imaginé ce que serait notre première fois ensemble. J’ai préféré attendre que nous la vivions.

Nos deux corps s’enlacent. Nos deux sexes, l’un contre l’autre, ne demandent plus rien  pour ne plus faire qu’un. Pénétration profonde et va et vient tout doux….pour que le plaisir dure ? Non, je m’abreuve à ton sexe et du bout de ma langue je titille ton clito pendant que dans ta bouche tu dévores tout mon sexe. On va jouir en même temps et je goûterais ton plaisir, je goûterais ta jouissance, tu goûteras la mienne.

Mais dure le plaisir, dure encore. Ma bouche t’avale, ma langue te titille. Je sens la tienne qui lape ma mouille, je sens le bout de celle-ci forcer doucement mon entrée.

Oui je sens ton plaisir qui ne veut que durer. Soudain ma queue quitte la chaleur de ta bouche. Je me retourne et m’accroupis devant toi. J’écarte encore tes cuisses et caressant ton ventre et ta douce toison, ma langue se régale au plus profond de toi. Je mordille tes lèvres. J’aspire ton clito. Mais tu veux que je revienne. Nous voilà à nouveau nos têtes dans nos sexes.Tu caresses de ta bouche mon gland tout ruisselant. Tu serres ma tête entre tes cuisses et je veux, de ma langue, te faire jouir de plaisir.


 


 

Texte écrit à quatre mains ... les miennes et ceux de DIVI.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 01:58

Texte publié la première fois le 9 juillet 2006. Je l'aime beaucoup ... donc je le remets ... j'espère que vous prendrez plaisir à le découvrir, ou le redécouvrir ...


Te souviens-tu du temps où nos rapports étaient autres ? Te souviens-tu du temps où nous faisions l'amour ? Te souviens-tu du temps où "nous" voulait dire quelque chose ?


C'était une après-midi de juin particulièrement chaude et étouffante. L'orage grondait au loin. Nous avions choisi de rester là. Le lit à baldaquin, lieu de toutes les permissions, de tous les repos aussi.
Nous avions passé une partie de la nuit à nous abreuver l'un de l'autre. Nous nous connaissions déjà depuis près de deux mois, et nous n'en finissions jamais de ne pas nous rassasier. Toi gourmande et impatiente, moi, heureux et satisfait.
Nous n'avions quitté le lit que le temps de nous raffraîchir, de nous restaurer. Pas trop. Pas trop peu.
Blottis l'un contre l'autre, savourant la moiteur de cette après midi si particulière. Savourant le plaisir d'être là, seuls, enfin seuls, et libres.
Je sais que ton plaisir et tes envies sont insatiables. Je le sais et j'aime à le savoir. Tu me tues, tu me vides. Je t'aime ainsi.

Ta bouche fouillait la mienne, doucement. Tes mains couraient sur mon corps. Mon sexe se gorgeait de plaisir, se gonflait sous tes mains expertes. Je te rendais la pareille. Mais pas trop. Tu m'avais épuisé. Tu aimes contrôler, j'aime que tu me contrôles, parfois.

Je t'embrassais les yeux, ton petit nez coquin, je revenais vers ta bouche sur laquelle je plaquais mes lèvres. Nos dents s'entrechoquaient, et déjà le désir nous possédait de nouveau. Tu me laissais peu de répis. Qu'importe !

Tu te glisses doucement vers mon appendice fier et déjà dressé. Tu me lèches les tétons, le ventre. Tu joues doucement avec mon nombril, y foures ta langue experte. Tes mains s'activent ailleurs, plus bas. Mes boules roulent sous tes doigts. Tu joues avec mon scrotum. Ma queue n'en finit pas de se dresser. Je gémis, je souffle, je respire fort. Je me glisse sur le lit, être bien à plat. J'écarte un peu les jambes.

Tu es à ma droite. Je te laisse faire. Ta main se resserre brutalement sur ma bite. Tu serres, tu relâches, tu resserres. Tes lèvres sont descendues et embrassent ma toison. Je te caresse les épaules, les frôle. Ma main glisse sur ta nuque, tes cheveux. Je les saisis, relâche. Je les empoigne au moment où ta bouche vient embrasser mon bout. Ta langue joue déjà avec.
Ta main s'est placée à la base de ma queue. Tu lèches ma verge, d'un bout à l'autre, tu la manies sûrement. Je gémis plus fort.
Je te laisse libre. Tu sais ce que j'aime. Tu me surprends toujours.
Au moment où ta bouche engloutit ma queue, je perçois la chaleur de ta salive. Je pousse un cri plus rauque. Le plaisir, la surprise, la fausse surprise. Tu commences un doux va et vient. Plus profond. Ta chaleur m'encercle. Ta langue me bouffe. Tes dents me cognent. J'écarte plus les jambes. Je suis agrippé à tes cheveux. Je serre plus fort.
Tu laisses ma queue. Enfin ... tu la laisses libre de ta bouche. Tu la parcours de nouveau du bout de ta langue. Tu viens lècher mes testicules. Tu les aspires. Ta main continue son va et vient avec ma queue. Pas de répit. Non pas de répit. Je suis au bord de l'extase. Tu suces mes boules, joues avec mon scrotum. Tu laisses ma queue pour venir titiller mon anus. Tu enfonces le bout d'un de tes doigts pendant que ta langue joue de nouveau avec ma verge. Tu l'enfournes de nouveau dans ta bouche, plus fermement. Tu te fais plus cruelle. Tu t'agites. Ton mouvement se fait plus rapide, mon souffle plus court. Une main à la base de ma queue, l'autre sur mon ventre qui me griffe. Ma main aggripée à tes cheveux, l'autre enfoncée dans tes épaules. Je sens que je vais me vider. Je n'en peux plus. Tu accélères encore. Je suis gonflé. Je sens que je vais exploser. Je sens les premières gouttes, je jouis. Je jouis dans ta bouche. Tu avales, tu aimes. Tu te redresses, me souris. Je te rends ton sourire. Tu n'en as pas fini. Tu engloutis de nouveau ma queue, la presse, l'excites. Tu veux la vider, complètement. Je continue de jouir. Tu continues d'avaler. Je suis vidé. Je suis repu. Tu me lèches, jusqu'à la dernière goutte. Tu lèches tes lèvres.
Je te regarde, tu es belle à mourir. Je te regarde devenir chatte et te glisser sur moi, me lècher le torse, et venir t'échouer sur moi, comme une enfant heureuse. Je ferme mes bras sur toi. Te berce. Une nouvelle fois, tu m'as comblé.

Comment avons nous pu glisser dans le sordide ?

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 00:41
Je suis troublée. J'ai du mal à savoir pourquoi je fais ça. Je m'interroge sur mes réelles motivations. Finalement, n'ai-je pas voulu ça pour t'avoir ? T'avoir vraiment ? Te posséder ? ... il y a sans doute un peu de ça. Je ne peux plus reculer. Je me tais. Je ne sais quoi te dire. Je n'ai pas envie de parler. J'ai toujours le numérique en main. Mais j'ai envie de te caresser. Je m'approche. De la pointe de tes orteils à la base de ta cuisse. Je t'emprisonne dans ma main. Clic. Clic.

Je ne sais comment je fais pour garder le foulard sur les yeux. Je crois que j'ai peur de te regarder. Peur que tu vois dans mes yeux que les photos, la séance n'étaient qu'un prétexte. J'ouvre la bouche. Je veux parler. Je veux te parler. Mais ta main me trouble. Je sais que tu ne vas pas te contenter de photographier. Saisi. Mon pieu se dresse. J'entends. Tu shootes. Tu fais ça pour les photos, juste pour les photos. Il n'y a pas de désir. Je n'arrive pas à parler, alors je te saisis. J'attrape tes hanches.

Je suis surprise. Tu m'as fait peur. J'ai tressailli. J'étais dans mon truc. Dans toi. Dans les photos. Dans mes envies. Je prends ta bouche. Me penche. Ma poitrine te frôle. Je pose l'appareil sur la table de nuit. Je reviens vers ta bouche. J'y dépose mes lèvres. Doucement.

Mes mains remontent le long de ton dos. Je dégraphe ton soutien-gorge. Je te libère. Tu t'es redressé, m'attrapes les mains, et les poses sur tes seins. Ils sont doux, lourds. Je goûte le plaisir de te toucher enfin. Je sais que tu as cessé les photos. Que l'on va faire l'amour. En profiter, se découvrir. J'ai toujours les yeux bandés. Mes mains sont mes yeux.

Je me penche vers ta bouche. Je veux que tu les goutes de ta langue. Tes mains les ont lâchés. Tu inverses la position. Je suis coincée sous toi. Ta bouche me mange. Tu me fouilles, vif, vibrant, effrayant. J'accroche mes mains à tes fesses. Ton sexe dur entre nos deux ventres.

Je descends vers ta gorge. Tu sens bon. Tu goûtes bon. J'attrape ton téton entre mes dents. Tu te cambres. Je le suce, le téte, l'aspire. Je joue avec. J'avale ton sein, sa douceur.

J'ai fermé les yeux. Je te laisse faire. Je profite. J'aime. Je vais défaire le foulard. J'ai envie de te libérer la vue. Je caresse ton dos nu. Tes muscles trésaillent. Ta nuque. Tes cheveux si doux. Je garde les yeux fermés. Je ne veux pas voir ton regard. Je te libère.

Je n'ose ouvrir les yeux. Le moment est magique. Je regarde. Le nez dans tes seins. Je relève la tête. Tu es cambrée. Offerte. Offerte à moi. Je regarde ta gorge. Ton menton. Ta bouche. J'ai envie de la dévorer. Je me glisse vers elle. Ton visage. Tu fermes les yeux. Je les embrasse. Encore. Tu frissonnes. Vas-tu me regarder ?

Je savoure. Je me sens bien dans tes bras. Sous tes lèvres. Je me sens vivre.

J'ose. J'ouvre. Tu es là. Ton regard dans le mien. Je ne parviens plus à m'en détacher. Je lève la tête. J'attrape ta bouche. Je m'offre toute entière.




Bon anniversaire, Petit Prince !




Par blackevil - Publié dans : facàface
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