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Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 17:19

Tu pensais accomplir une prouesse. Tu avais bien suivi le mode d'emploi du "petit baiseur sans expérience". Des baisers dans le cou, sonores, une caresse par ci par là. Tu te frottais tel un chien exité sur une jambe humaine. Pas de doute, ton exitation était bien réelle. Je percevais sans peine ton vit dressé et raide contre mon ventre. Je n'étais pas bien sûr que nous faisions l'amour. Je me demandais ce que tu faisais. Une main glisse sur mon entre jambe. Puis toi. Ta tête au milieu de mon intimité. Mais que faisais-tu ? Etais -tu si pressé au point de ne pas t'attarder sur mon bouton ? L'as-tu seulement trouvé ? Avais-tu un schéma précis à accomplir, une recette ? Non, ne me lave pas ... ce n'est pas comme ça que l'on pratique un cuni ... personne ne t'a dit ... je n'aurais pas eu le temps, tu étais déjà passé à autre chose ...

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Dimanche 17 septembre 7 17 /09 /Sep 19:17

La nuit dégageait un doux parfum de chaleur humaine. Tu étais déjà assoupie, peut-être rêvais-tu à moi ?
Je me suis penché tendrement au-dessus de ta tête. Tu n'as rien entendu de mes quelques mots d'amour. Tu dors. Je me rapproche alors un peu plus, si proche que je peux humer l'odeur de ton souffle, la chaleur de ton souffle, te humer toute entière. Tu tressaillis. Je t'ai fait peur. Tu m'as senti. Tu ne m'as pas entendu, mais tu m'as senti.
Je devine ton sourire dans l'obscurité. Tu aimes être surprise. J'approche ma bouche, je veux sentir tes lèvres, leur douceur, leur chaleur. Je veux les voir avec mes propres lèvres. Je veux que ma peau, mes mains, mon corps tout entier devienne mes yeux. Je veux te découvrir, te redécouvrir autrement, je veux te voir par mon toucher.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Lundi 24 juillet 1 24 /07 /Juil 18:25

C'était notre première nuit ensemble. Nous avions fait l'amour une grande partie de la nuit avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre.
Tu viens de te réveiller, je dors encore. Tu me regardes, je suis allongée sur le ventre, la couette retroussée sur ma jambe tendue, l'autre est pliée, offrant mon sexe libre. Je souris dans mon sommeil. Tu te sens de nouveau gonflé d'envie et de désir. Tu t'approches de mon entre-jambe,tu me caresses doucement les fesses puis les cuisses. Ta bouche s'aproche de mon sexe, ta langue venant titiller mon clitoris. Je suis déjà humide et tu devines la raison de mon sourire. Je rêve forcément d'amour. Tu introduis un doigt dans la chaleur de mon sexe, faisant un doux va et vient. Je gémis dans mon sommeil. Ton sexe est de plus en plus tendu et gonflé. Tu te redresses et me pénètre doucement. Je gémis de plaisir. Mon bassin suit tes mouvements d'abord lents. Tu aimes être doux. J'ouvre les yeux, et tourne légèrement la tête. Je te souris de cette surprise matinale. Tes mains attrapent les miennes. Nos doigts s'entrecroisent. Tu accélères le mouvement, ton râle est plus fort, mon souffle plus rapide. Tu te retires et me retourne sur le dos.
Je te regarde amoureusement. Je caresse ton torse, ton dos, tes fesses. Tu viens m'embrasser langoureusement, mes jambes s'écartent au maximum t'invitant à entrer de nouveau en moi. Ton sexe vient exciter mon clitoris avant de s'introduire de nouveau. Tu me tiens les mains au dessus de la tête, tu embrasses mes seins , mordillant mes tétons. Mes gémissements sont plus forts, nos bassins bougent ensemble, de plus en plus rapidement. Je me cambre de plaisir. Je sens ton souffle chaud dans mon cou. Je te murmure "je t'aime ". Mon corps est complètement tendu vers toi. Il t'appartient. Tout va de plus en plus vite. Mes jambes t'ont pris en étaux. Je gémis plus fort. Mon ventre se contracte, je ferme les yeux, je commence à jouir. Je plonge mes yeux dans les tiens, je te regarde sans fin... Je jouis profondément, et tu jouis avec moi. Tu te vides dans mon ventre dans un râle puissant qui se mêle à mes gémissements. J'aime quand tu me fais l'amour. J'aime le plaisir que tu me donnes. Tu viens m'embrasser doucement, puis tu poses ta tête sur ma poitrine. Je souris de t'avoir là, avec moi, juste pour moi. Je t'aime .

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Lundi 3 juillet 1 03 /07 /Juil 21:58

Comment ai-je pu en arriver à autant de bassesses ? Comment la douleur nous aveugle et nous rend aussi dur et froid ? Comment puis-je faire une chose pareille à la personne que j'aime le plus au monde et qui est aussi celle que je hais le plus au monde ?
Qu'importe les questions, qu'importe le sentiment de culpabilité ? Qu'importe, je vais au bout, je vais toujours au bout ! Le jeu est ainsi, tu as joué, tu as perdu ! Je te l'avais dit : Jouer n'est pas jouer ! Tu n'écoutes jamais ! Maintenant ASSUMES !

Alors qu'elle s'occupe de tes seins, les lèches, aspire tes tétons, veut entrer un de ses doigts dans ta bouche, lui à baisser la tête. Il s'est mis à niveau. Il s'occupe de ta chatte, joue avec ton bouton de rose, tire sur tes lèvres. je vois bien que malgré ta haine de moi, l'horreur de la situation, tu es excitée. C'est plus fort que toi. Tu aimes l'amour, peu importe qui, peu importe les sentiments que l'humain t'inspire ton désir corporel est plus fort que tout.

Pendant que sa langue te fouille, ses mains glissent sur tes cuisses fermes. Remarques-tu que tu as cessé de te débattre, tu fermes même les yeux par moment. Tu te laisses emporter. Tu m'oublies, tu oublies ce que je te fais subir. Avec ma chance, tu vas apprécier la vengeance et prendre cela comme une expérience. Idiot jusqu'au bout !

Tu as fini par ouvrir ta sale petite bouche gourmande. Elle t'embrasse, elle t'avale, elle aussi te fouille. Tu lui réponds, je vois que tu répond à son baiser. Tu es maintenant excitée. Je suis déçu. Ma vengeance a désormais un goût amer. Je me suis pris à mon propre jeu. Tant pis. Autant me punir moi d'avoir eu ce sentiment vil. Je regarde, de coupable je suis devenu mon propre boureau. La vengeance est réductrice et fait souvent bien plus de mal à celui qui se venge qu'à celui qui subit la vengeance.

Il vient jouer avec ton nombril, introduit ses doigts dans ton intimité. Vous êtes trois beaux excités. Trois beaux salops. Et moi, que suis-je ? Une belle ordure !
J'ai voulu jouer, j'ai perdu, je me suis perdu !
Je t'entends gémir dans la bouche de cette grue. Elle retourne s'occuper de tes seins. Lui, s'est redressé. Dieu qu'il est fier !
Elle se met à califourchon sur toi. Face à face. Elle lui offre son cul. Il te pénètre, d'un coup de rein. Il s'active puissament, ne ménage pas ses efforts. Je vois tes hanches suivrent son rythme. Lui aussi a un fier appétit. Pendant qu'il te laboure brutalement, il s'occupe également de sa grue. Lui introduit un doigt dans l'anus. Elle frotte ses seins sur les tiens comme une chienne. Tu ouvres la bouche, tu as la langue sortie. Tu la cherches, tu cherches la bouche de cette salope !

L'autre pousse des cris rauques dignes d'un animal. Je souffre ! Je ne peux cependant m'empêcher de regarder. C'est plus fort que moi, je dois regarder ce que je t'ai fait, ce que je me suis fait.
Tu acceptes tout.
La femme s'écarte de toi. Descend de la table, détache tes liens. Lui est sortie de toi, mais il te maintient. Ils vont encore jouer avec toi. Il te retourne brutalement ! Elle t'a attraper les bras, tes mains sont de nouveau liées. Tu as les seins, le corps écrasé sur la table. Elle te soulève le bassin, te force à t'ouvrir. Il regarde, se branle, ne veut pas devenir mou. Il est très excité, cela se lit sur son visage, presque déformé. Elle te lèche l'anus, introduit un doigt, crache sur ton oeillet. Elle relève la tête, attrape le sexe dressé de son homme, l'avale, le lèche, le ressort, le presse, elle revient à toi, s'occupe de ton trou. Et laisse enfin la place. Tu gémis, tu gémis je le vois, je le sens. Il entre en toi, d'un coup. Tu as le souffle coupé. Tu cries. Il s'active encore plus vite que dans ton vagin. Sa grue regarde, puis décide de se mettre derrière lui, elle calque les mouvements de son bassin sur les siens. Elle caresse ses couilles qui s'écrasent contre ton cul. Et elle vient mettre ses doigts dans ton vagin. Elle se masturbe en même temps. Il souffle plus fort, ce porc. Je te sens prête à t'abandonner, tu t'abandonnes, au bord de la jouissance. Il n'a pas encore éjaculer. Il sort de toi. Se tourne vers sa femme, l'attrape par la taille. Il la soulève et la pose sur le bord de la table. Tu as encore le cul en l'air, offert. Il pénètre doucement, s'active doucement accélère. Elle est contre tes jambes. Ils s'embrassent fougeusement, elle jouit, il éjacule en elle. Tu n'es rien, tu n'as servi qu'à exciter leur sens. Ils se sont servit de toi ! Tu n'es pas allé au bout de ta jouissance, juste eu un aperçu de ce que tu aurais pu avoir

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Dimanche 18 juin 7 18 /06 /Juin 18:22

Ne crois pas que je me délecte de tes souffrances. N'imagine pas cela. N'imagine jamais cela. Mais comment pourrait-il en être autrement ? Comment ne pourrais-tu pas me haïr dans ce que je te fais vivre ? Le jeu en vaut-il la chandelle ? Trop tard pour revenir en arrière ! Je ne reviens jamais en arrière ! J'assume mes actes.

J'ai trouvé ce couple, non pas par hasard. Rien n'est jamais le fruit du hasard. J'ai un ami très branché cul. Il ne vit, ne pense que cul. Cela fut donc facile. Je lui ai dit ce que je voulais, il a fait le reste. Rassure-toi, ils sont payés très lestement, à la hauteur de ta beauté, à la hauteur de ton âme !

Pourquoi me fais-tu cela ? Pourquoi ?

Je vois bien que tu te retiens de crier, de m'appeler. Je vois bien que tu ne veux pas de sa langue dans ta bouche. Elle a enlevé sa robe, lui sa chemise. C'est étrange ! C'est sordide. Elle se frotte contre toi. Elle frotte ses seins sur ton jolie petit ventre. Il se redresse, la regarde. Je vois bien qu'il l'aime, qu'il la désire. Elle continue à se frotter, elle redescend vers ton entrejambe. Je la vois t'embrasser, embrasser ta douce toison. Elle t'attrape les lèvres, les tire. Tes yeux sont déjà remplis de larmes. Que penses-tu de l'humiliation que tu subis ?
Lui est toujours occupé avec tes seins. Il a déboutonné son pantalon, le fait glisser le long des ses jambes. Tu n'aimes pas les velus, tant pis. C'est lui que j'ai choisi pour toi. Bien sûr sciemment !
Son sexe est déjà dressé. Je te rassure, Mon Amour, ce n'est pas la première expérience de ce genre qu'ils ont.
Elle sort de ton entre jambe. Elle contourne la table. Elle s'arrête devant lui. Elle a saisi son sexe dans sa main. Ta minute de répis, Mon Amour. Ils s'embrassent. Leurs langues s'entre-choquent, se hapent, se mélangent.
Il a glissé sa main dans son dos. Elle s'agenouille. Sa langue joue avec le bout de son gland. Elle la fait glisser vers ses couilles, les gobe. Sa main ne lache pas l'objet du désir. Elle y revient assez vite d'ailleurs.
Tiens tu regardes finalement. Me serais-je trompé ? M'aurais-tu aussi menti à ce sujet ? ou te découvres-tu des talents de voyeuses ?
Son sexe est aspiré dans sa bouche. Il a rejeté sa tête en arrière, il respire fort. Il la tient pas les cheveux, il serre fort.
Elle se relève. Il n'a pas joui. Elle l'a just suffisamment exité. Elle a commencé le travail.
Il vient se place devant toi. Ton entre jambe. Il te reluque. Tu ne le quittes pas du regard, ce regard si méprisant, si plein de haine, ce regard qui est si toi.

Tu me hais.

Je te hais.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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