Lundi 3 juillet 1 03 /07 /Juil 21:58

Comment ai-je pu en arriver à autant de bassesses ? Comment la douleur nous aveugle et nous rend aussi dur et froid ? Comment puis-je faire une chose pareille à la personne que j'aime le plus au monde et qui est aussi celle que je hais le plus au monde ?
Qu'importe les questions, qu'importe le sentiment de culpabilité ? Qu'importe, je vais au bout, je vais toujours au bout ! Le jeu est ainsi, tu as joué, tu as perdu ! Je te l'avais dit : Jouer n'est pas jouer ! Tu n'écoutes jamais ! Maintenant ASSUMES !

Alors qu'elle s'occupe de tes seins, les lèches, aspire tes tétons, veut entrer un de ses doigts dans ta bouche, lui à baisser la tête. Il s'est mis à niveau. Il s'occupe de ta chatte, joue avec ton bouton de rose, tire sur tes lèvres. je vois bien que malgré ta haine de moi, l'horreur de la situation, tu es excitée. C'est plus fort que toi. Tu aimes l'amour, peu importe qui, peu importe les sentiments que l'humain t'inspire ton désir corporel est plus fort que tout.

Pendant que sa langue te fouille, ses mains glissent sur tes cuisses fermes. Remarques-tu que tu as cessé de te débattre, tu fermes même les yeux par moment. Tu te laisses emporter. Tu m'oublies, tu oublies ce que je te fais subir. Avec ma chance, tu vas apprécier la vengeance et prendre cela comme une expérience. Idiot jusqu'au bout !

Tu as fini par ouvrir ta sale petite bouche gourmande. Elle t'embrasse, elle t'avale, elle aussi te fouille. Tu lui réponds, je vois que tu répond à son baiser. Tu es maintenant excitée. Je suis déçu. Ma vengeance a désormais un goût amer. Je me suis pris à mon propre jeu. Tant pis. Autant me punir moi d'avoir eu ce sentiment vil. Je regarde, de coupable je suis devenu mon propre boureau. La vengeance est réductrice et fait souvent bien plus de mal à celui qui se venge qu'à celui qui subit la vengeance.

Il vient jouer avec ton nombril, introduit ses doigts dans ton intimité. Vous êtes trois beaux excités. Trois beaux salops. Et moi, que suis-je ? Une belle ordure !
J'ai voulu jouer, j'ai perdu, je me suis perdu !
Je t'entends gémir dans la bouche de cette grue. Elle retourne s'occuper de tes seins. Lui, s'est redressé. Dieu qu'il est fier !
Elle se met à califourchon sur toi. Face à face. Elle lui offre son cul. Il te pénètre, d'un coup de rein. Il s'active puissament, ne ménage pas ses efforts. Je vois tes hanches suivrent son rythme. Lui aussi a un fier appétit. Pendant qu'il te laboure brutalement, il s'occupe également de sa grue. Lui introduit un doigt dans l'anus. Elle frotte ses seins sur les tiens comme une chienne. Tu ouvres la bouche, tu as la langue sortie. Tu la cherches, tu cherches la bouche de cette salope !

L'autre pousse des cris rauques dignes d'un animal. Je souffre ! Je ne peux cependant m'empêcher de regarder. C'est plus fort que moi, je dois regarder ce que je t'ai fait, ce que je me suis fait.
Tu acceptes tout.
La femme s'écarte de toi. Descend de la table, détache tes liens. Lui est sortie de toi, mais il te maintient. Ils vont encore jouer avec toi. Il te retourne brutalement ! Elle t'a attraper les bras, tes mains sont de nouveau liées. Tu as les seins, le corps écrasé sur la table. Elle te soulève le bassin, te force à t'ouvrir. Il regarde, se branle, ne veut pas devenir mou. Il est très excité, cela se lit sur son visage, presque déformé. Elle te lèche l'anus, introduit un doigt, crache sur ton oeillet. Elle relève la tête, attrape le sexe dressé de son homme, l'avale, le lèche, le ressort, le presse, elle revient à toi, s'occupe de ton trou. Et laisse enfin la place. Tu gémis, tu gémis je le vois, je le sens. Il entre en toi, d'un coup. Tu as le souffle coupé. Tu cries. Il s'active encore plus vite que dans ton vagin. Sa grue regarde, puis décide de se mettre derrière lui, elle calque les mouvements de son bassin sur les siens. Elle caresse ses couilles qui s'écrasent contre ton cul. Et elle vient mettre ses doigts dans ton vagin. Elle se masturbe en même temps. Il souffle plus fort, ce porc. Je te sens prête à t'abandonner, tu t'abandonnes, au bord de la jouissance. Il n'a pas encore éjaculer. Il sort de toi. Se tourne vers sa femme, l'attrape par la taille. Il la soulève et la pose sur le bord de la table. Tu as encore le cul en l'air, offert. Il pénètre doucement, s'active doucement accélère. Elle est contre tes jambes. Ils s'embrassent fougeusement, elle jouit, il éjacule en elle. Tu n'es rien, tu n'as servi qu'à exciter leur sens. Ils se sont servit de toi ! Tu n'es pas allé au bout de ta jouissance, juste eu un aperçu de ce que tu aurais pu avoir

Par blackevil - Publié dans : facàface
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