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Lundi 12 juin 1 12 /06 /Juin 13:59

Je suis installée dans le fauteuil. Je ne râte rien de ce qui se passe dans la salle. J'avais pris soin d'installer une caméra reliée directement à la tv du bureau. Elle est braquée sur ton visage. Seul ton visage et ce qu'il va refléter m'intéresse. Ils doivent te laisser attachée. Tu ne le sais pas, mais j'ai donné des directives, bien précises. Pas question de te faire du mal, en tout cas physiquement. Ce que je veux, c'est une souffrance mentale, une souffrance morale. Je me moque de leurs jeux sexuels, je me moque de leurs envies. Je suis malheureux à cause de toi. Je veux que tu payes, je veux que tu souffres dans ton amour propre de la même manière que tu m'as fait souffrir.

Je ne comprends pas ce qui se passe. Pourquoi ne m'embrasses-tu plus ? Pourquoi je ne te sens plus au-dessus de moi ? Pourquoi ?
J'ouvre les yeux. Ton regard est dur, froid distant. Je ne comprends pas. Tu m'embrassais fougueusement, tu caressais mon sexe, tu le fouillais même. Mais que regardes-tu ? Pourquoi as-tu tourné la tête ? Je regarde sur le côté. Un couple ? Mais, qui sont-ils ? Qu'as-tu inventé ? Je n'aime pas les trucs à plusieurs ! Toi non plus ! Pourquoi t'éloignes-tu ?
Reviens ! Que fais-tu ? Ne m'abandonnes pas ! S'il-te-plait ! Ne me laisse pas ! Je t'en supplie ! Ne pars pas ! Reviens !!!
J'ai peur, je ne comprends pas. Tu ne vas pas me laisser seule avec ce couple inconnu. Ce n'est pas possible, pas toi. Pas toi, où est l'homme que je connais, l'homme si doux, si attentionné. Lui ne me ferait jamais ça. C'est sordide ! Je ne veux pas un autre que toi, je ne veux pas de ce couple, je n'aime pas l'amour à plusieurs.
Non, je ne veux pas qu'il m'embrasse. Nan, je ne veux pas. Je sers les dents. Je suis contractée. Je suis terrifiée. Mais où es-tu, ce n'est pas possible !
Que fait-elle ? Je suis dans un cauchemard. Elle m'écarte les jambes, pourtant je fais tout mon possible pour l'empêcher, mais je ne peux pas. Tu m'as attachée, je ne peux rien faire, je ne veux pas subir.
Non, je ne veux pas qu'elle embrasse mon sexe, qu'elle mette sa langue en moi. Et lui, ce porc qui me mordille les tétons, qui essaye d'introduire ses doigts dans ma bouche.
Je voudrais crier mais si je le fais ...

Je vois ton visage, je peux imaginer, ressentir, lire tes pensées. Chacune de tes pensées. Tu vas me détester, tu me détestes déjà. Peu importe. Nous serons quite au final. Peut-être pas. J'aurais le dégoût de moi-même, toi aussi !

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Mercredi 7 juin 3 07 /06 /Juin 18:48

C'était il y a longtemps, très longtemps. Il faisait chaud, tu aimes quand il fait chaud. Nous chahutions. Nous avons dérapé. Je voulais que tu m'avoues quelque chose. Tu refusais. En plaisantant, je t'ai menacée de t'arracher ton string avec les dents. Tu as continué de refuser. Tu riais à gorge déployée. Tu étais si belle, si naturelle, si simple. J'ai reposé ma question. Devant ton refus, je t'ai prise dans mes bras, t'ai posée sur la table, au bout de la table. Tu as continué de rire. J'ai remonté ta jupe jusque sur tes hanches. J'ai avancé ma bouche, et j'ai saisi ton string avec mes dents. Je l'ai fait glisser le long de tes jambes. Tu continuais de rire. Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés là. Nous, nous étions de simples amis. Aujourd'hui, que sommes nous ? Que sommes nous devenus ?
Je me suis redressé, ton string toujours entre les dents. Que j'aime te voir rire ! Tu me regardais dans les yeux. Tu n'étais pas inquiète, tu savais, le jeu était allé loin. Peu importe ! Nous en avions envie, la magie était au rendez-vous. Nous saisissions l'instant. J'écartais doucement tes jambes. Je me voulais au plus près de toi. Je me penchais pour embrasser ta bouche. Notre premier baiser. C'était doux, timide presque. Presque chaste.
Tu avais commencé à déboutonner ma chemise. Je t'embrassais de plus en plus profondément, j'aimais le goût de tes lèvres, de tes baisers. Je caressais tes jambes. Je me sentais déjà gonflé de plaisir. Je te redressais. Tu fis tomber ma chemise. Je te débarassais de ton top. Tes seins pointaient vers mon torse. Ils me frolaient et je trouvais cela très exitant. Je ne te quittais pas des yeux. Tu as défait ma ceinture, mon pantalon. Je continuais de t'embrasser en caressant doucement ton dos, particulièrement ta colonne vertébrale. Ta peau si douce. Ma bouche chercha le creux de ton cou. L'odeur de tes cheveux, l'odeur de ta peau. Tu sentais le soleil, tu sentais la vie. Mon pantalon restait sur mes hanches. Tes jambes m'avaient emprisonné. Je glissais mes mains sous tes fesses dénudées, je te soulevai pour me diriger vers le mur. Tes bras m'entouraient, tes mains caressaient mes cheveux. Le moment était particulièrement doux. Pas de précipitations. Nous n'avions échangé aucun mot. Tu avais cessé de rire. Nous étions presque devenus grave.
Je t'embrassais plus sauvagement, plus vigoureusement. Tu gémissais déjà. Une de mes mains alla s'engouffrer vers ton sexe. Du bout des doigts, je vérifiais que je t'excitais vraiment. Je m'amusais avec ton clito, descendais vers ta fente, remontais.
Tu passais tes mains sur mes fesses, le bas de mon dos. Tes mains sur moi laissaient une trace chaude, un sillon indélibile.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Lundi 5 juin 1 05 /06 /Juin 13:42

Je fais le tour de la table.Tu restes figée, abandonnée. Tu me suis du regard. Tu attends soumise. Je sors de ma poche un foulard de soie noire, t'attrape la main et te mets le lien que je fixe au pied de la table. Je fais la même chose de l'autre côté. Tu n'as pas peur. Un petit jeu sexuel, je sais que tu aimes. D'ailleurs tu souris déjà en imaginant la suite. Je te souris également. Je suis maintenant derrière toi. Ma tête au-dessus de la tienne. Je te domine. Mon sexe reste dressé certes. L'exitation n'est pourtant pas au rendez-vous finalement. Je ne suis pas sûr que ma vengeance aura autant de saveur que cela. Pourtant, elle me motive. Je me penche sur toi. J'embrasse ton front, ton nez, ta bouche, ton cou. Je reviens vers ta bouche, tu te laisses faire, tu aimes que je t'embrasse à contre sens. Je sais que le moment arrive, je ne veux pas que tu perdes ton exitation. Cela n'aura aucun intérêt autrement. Je glisse mes mains sur tes seins en même temps que je t'embrasse. Elles s'enfoncent vers ton ventre, ton sexe. Je joue avec ton clito, je te pénètre avec deux doigts. Pas de doute, tu es exitée. Je suis satisfait.
Soudain, la porte s'ouvre. Un couple entre. Tu n'as pas entendu, je suis toujours entrain de m'occuper de toi. Je cesse mes gestes. Je relève la tête. Tu as toujours les yeux fermés. Tu attends. Devant l'absence de contact, tu te décides à de nouveau me regarder. Je te fixe durement, je tourne la tête. Ton regard suit le mien. Tu découvres alors ce couple. Je ressens ta peur. Peu m'importe, le moment est venu de te faire payer ... tu aimes le sexe, avec moi, mais aussi avec d'autres ... alors voilà ... je te laisse à d'autres. Mais je sais qu'à cet instant, tu penses à une partie à quatre. Tu me régardes incrédule, tu souris ... mais tu réalises, enfin, tu réalises que je n'agis pas comme d'habitude, que mon comportement n'est pas le même. Tu es inquiètes, tu as peur, ta poitrine se soulève d'angoisses. Je marche vers le couple. Ils sourient ... ils n'ont rien perdu de ce qui s'est passé. J'ai pris soin d'installer une caméra. Je les regarde, ne me retourne pas vers toi. Je te laisse entre leurs mains. Peut-être y trouveras-tu autant de plaisir qu'avec les autres. Je ne te dis rien, je ne réponds pas à tes appels, je te laisse, je t'abandonne. J'entends tes pleurs, ta voix déchirée. Tu ne me touches plus. Trop loin, tu es allée trop loin. Jouer n'est pas jouer. Je n'ai jamais joué. Toi si . Continue donc sans moi. Sauf que les règles sont désormais les miennes.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Samedi 3 juin 6 03 /06 /Juin 00:23

Je mange ta peau, ma langue te goûte une dernière fois. Je me redresse pour me pencher sur ton sexe. Tandis que mes mains t'écartent les jambes, te caressent les cuisses, mon nez vient frotter ton intimité imberbe. Ma langue joue avec ton clito. Je l'embrasse, je l'aspire, le titille. Je descends plus bas, je glisse vers ton vagin très humide. J'entre la langue revient vers ton mont de vénus. Je continue à te caresser. Tes doigts agrippent mes cheveux, tu gémis. Je ne veux pas que tu prennes trop de plaisir, juste suffisamment pour créer un manque, une envie incontrolable, mais pas la jouissance. Quand je te sens à la limite de te laisser complètement aller, j'arrête le jeu. Je me redresse. Mes yeux se fixent sur les tiens. Tu ne comprends pas ce qui me prend. Je vois une lueur d'inquiètude, puis de surprises dans ton regard. Finalement, la surprise te ravit, tu penses à un nouveau jeu, ton sourire s'élargit. Tu es loin d'imaginer ce que je vais te faire.

 

Par blackevil - Publié dans : facàface
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Vendredi 2 juin 5 02 /06 /Juin 10:26

Tu ne peux imaginer la jouissance que je peux ressentir devant ton regard empli de confiance. Je te connais comme si je t'avais façonnée. Je connais chaque millimètre de ta peau, je connais chacun de tes désirs, chacun de tes fantasmes, chaque recoin de toi qui peut te mener au plaisir. Je connais tout de toi, y compris le pire, surtout le pire. Tu penses que je l'ignore. Tu penses que tu m'as dupé. Tu penses que jamais je ne me suis rendu compte, que jamais je ne me rendrais compte que je ne suis pour toi qu'une assurance, une bouée de secours, un moyen d'être sûre que quelqu'un t'aime quelque part.
Chacun de mes baisers est nourri par ces pensées vils. La noirceur de mon âme ne t'apparaît pas. Tu es si sûre d'être impénétrale. Ma main remonte le long de ton ventre. Je saisis ton sein droit et le presse durement. Je sais que tu aimes ça. Tu continues de m'embrasser fougeusement. J'ignore si à cet instant tu m'aimes moi ou tu aimes l'amour comme nous le faisons. Je te soulève finalement pour te mener sur la table en bois de chène. Tu gémis déjà. Simules-tu ? J'arrache ton string. Je suis encore habillé. Je ne t'ai pas laissé me déboutonner. Tu m'as froler, frotter, mais je t'ai empêchée de me déshabiller. Ce soir, c'est moi qui commande, c'est moi qui fait souffrir et toi, toi seule qui va subir les affres de ma colère.

Par blackevil - Publié dans : facàface
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