Je revins m’allonger près d'Ondine. Ses yeux fermés, son souffle court, les perles de sueur entre ses seins étaient autant de signes du plaisir qu’elle prenait. Délicatement, j’invitais Foncine à me laisser reprendre mes droits sur le con de ma belle. Humidifiant le manche de la cuillère de ma salive, j’investis la place. Ondine avait légèrement basculé sur le côté. Aussi Foncine contourna ses reins et vint s'occuper de son œillet, qu'elle pénétra doucement. Je vis le ventre de mon amante sursauter de plaisir sous cette caresse opposée. J’avais d’abord commencé par exciter son bouton avec la petite boule du manche, faisant rouler l’un sous l’autre. Je descendais celui-ci doucement sur la partie centrale de sa vulve pour entrer doucement dans sa caverne. Quand j’estimais la place suffisamment humide et agitée, je retournais l’ustensile, refaisant les mêmes gestes mais avec la partie cannelée. Ondine dont l’excitation était plus qu’évidente tendait son sexe aux caresses de la cuillère, celui-ci ouvert et s’offrant à une pénétration.

Je procédais avec douceur, l’introduisant de la même manière qu’une boule geisha. Que je m’y suis baigné … Le con se referma alors sur le manche, ayant ainsi avalé la boule ovale. J’observais le visage de ma belle et m’apercevait que Foncine venait de lui lier les mains de chaque côté du lit. Mon amante se mordait les lèvres de plaisir. Son amie lui énervait les tétons. Alors que je commençais à tourner l’ustensile dans sa boite de Pandore, je saisis la main de Foncine et la plaquait sur le bouton de mon aimée. Celle-ci ne se fit pas prier pour d’un coté, téter le sein et de l’autre, exciter le clito. Ma queue tendue à son maximum commençait à vouloir sa part. Pourtant, je choisis de retirer la cuillère pour l’offrir à la bouche de ces dames, leur faire goûter la sève de la bien heureuse. Ne voulant pas non plus manquer le goût doucereux de ma tendre, j’entrais dans son con deux doigts que j’enduisis pour mieux les porter à ma bouche. Ma verge, tendue comme un arc , tressautait, se dodelinait d'envie. Une nouvelle fois, nous échangeâmes nos places avec Foncine. Je libérais une des mains d’Ondine, la plaçant sur ma tige suppliante. Elle entama un va et vient salvateur qui m’arracha des cris rauques, alors qu’elle-même continuait de gémir sous les caresses linguales de Foncine. Mon amante explosa dans un gémissement plaintif, ne tenant plus sous nos caresses profondes... Il y a longtemps que je t’aime …

Fontaine (1).

Fontaine (2).

Fontaine (3).

Fontaine (4).

Fontaine (5).

Illustration de Rodin.