Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 00:16

Comment ai-je pu en arriver à autant de bassesses ? De quelle manière la douleur peut-elle nous aveugler et nous rendre aussi dur et froid ? Comment puis-je faire une chose pareille à celle que j'aime le plus au monde ? A celle que je hais le plus au monde ?


Au Diable les questions !  Au diable le sentiment de culpabilité ! Qu'importe, c'est plus fort que moi ! C'est le jeu que tu as choisi, mais aujourd'hui, tu en es la victime, le pion ! Je t'avais prévenue : Jouer n'est pas jouer ! Tu n'écoutes jamais ! Maintenant ASSUMES !



Alors qu'elle s'occupe de tes seins, les lèches, t'aspire les tétons, veut pénétrer ta bouche de ses doigts, lui a baisser la tête. Il s'est mis à niveau. Il s'occupe de ta chatte, joue avec ton bouton de rose, tire sur tes lèvres. Je vois bien que malgré ta haine de moi, l'horreur de la situation, tu es excitée. Ton visage a changé d'expression.  C'est plus fort que toi. Tu aimes l'amour, peu importe qui, peu importe les sentiments que l'humain t'inspire ton désir corporel est plus fort que tout.



Pendant que sa langue te fouille, ses mains glissent sur tes cuisses fermes et musclées. Remarques-tu que tu as cessé de te débattre. Remarques-tu que tes yeux se ferment par moment. Tu te laisses emporter. Tu m'oublies, tu oublies ce que je te fais subir. Avec ma chance, tu sauras apprécier ma vengeance, tu prendras cela comme une expérience, une initiation au plaisir. Idiot jusqu'au bout !



Tu as fini par l'ouvrir, ta sale petite bouche gourmande. Elle t'embrasse, elle t'avale, elle aussi te fouille. Tu lui réponds, tu te régales de ses baisers. Tu es entrée dans le jeu. Je suis déçu. Ma vengeance a désormais un goût amer. Je me suis pris à mon propre jeu. Je me retrouve puni, moi d'avoir eu ce sentiment vil. Je regarde, je suis devenu mon propre bourreau. La vengeance est réductrice et fait souvent bien plus de mal à celui qui se venge qu'à celui qui subit la vengeance.



Il vient jouer avec ton nombril, introduit ses doigts dans ton intimité. Vous êtes trois beaux excités. Trois beaux salops. Et moi, que suis-je ? Une belle ordure !


J'ai cru que je serais plus fort que toi.  J'ai perdu, je me suis perdu !


Je t'entends gémir dans la bouche de cette grue. Elle retourne s'occuper de tes seins. Lui, s'est redressé. Dieu qu'il est fier !


Elle se met à califourchon sur toi. Face à face. Elle lui offre son cul. Mais c'est toi qu'il pénètre, d'un coup de rein. Il s'active puissamment, ne ménage pas ses efforts. Je vois tes hanches suivrent son rythme. Lui aussi a un fier appétit. Pendant qu'il te laboure brutalement, il s'occupe également de sa grue, joue avec sa rosette. Elle frotte ses seins sur les tiens comme une chienne. Tu ouvres la bouche, tu as la langue sortie. Tu la cherches, tu cherches la bouche de cette salope !

L'autre pousse des cris rauques digne d'un animal. Je souffre ! Je ne peux cependant m'empêcher de regarder. C'est plus fort que moi, je dois regarder ce que je t'ai fait, ce que je me suis fait.


Tu acceptes tout. J'accepte tout. Je ne suis qu'un lâche, qu'un idiot ... qu'un homme !


La femme s'écarte de toi. Descend de la table, détache tes liens. Lui est sortie de toi, mais il te maintient. Ils vont encore jouer avec toi. Il te retourne brutalement ! Elle t'a attrapé les bras, tes mains sont de nouveau liées. Tu as les seins, le corps écrasé sur la table. Elle te soulève le bassin, te force à t'ouvrir. Il regarde, se branle, ne pas devenir mou. Il s' excite, son visage, son visage presque déformé. Elle te lèche l'anus, introduit un doigt, crache sur ton oeillet. Elle relève la tête, attrape le sexe dressé de son homme, l'avale, le lèche, le ressort, le presse, elle revient à toi, s'occupe de ton trou. Et cède la place. Tu vas aimer, je le sens. Tu vas aimer cette violence, cette sauvagerie. Il entre en toi, d'un coup. Tu as le souffle coupé. Tu cries. Il s'active encore plus vite que dans ton sexe. Sa grue regarde, puis décide de se mettre derrière lui, elle calque les mouvements de son bassin sur les siens. Elle caresse ses couilles. Glisse ses doigts dans ton sexe. Il souffle plus fort, ce porc. Je te sens prête à t'abandonner, tu t'abandonnes, au bord de la jouissance. Il n'a pas encore éjaculé. Il sort de toi. Se tourne vers sa femme, l'attrape par la taille. Il la soulève et la pose sur le bord de la table. Tu as encore le cul en l'air, offert. Il pénètre sa rondelle, doucement, s'active, doucement, accélère, doucement. Elle est contre tes jambes. Ils s'embrassent fougueusement, elle jouit, il jouit. Il éjacule en elle. Tu n'es rien, tu n'as servi qu'à exciter leur sens. Ils se sont servit de toi ! Tu n'es pas allé au bout de ta jouissance, tu n'as eu qu'un aperçu de ce que tu aurais pu avoir.


Que ressens-tu ?


Je suis en colère.


Contre toi.


Contre moi.


J'ai honte.

Par blackevil - Publié dans : Le monde de Blackevil
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