Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 17:03

L'après midi était chaud, enivrant. Ils étaient nus sur le lit, la fenêtre ouverte sur le parking. Aucun vent ne venait soulever les rideaux de voile. Ils s'étaient beaucoup amusés, ils allaient continuer à s'amuser encore un peu.  


Quatre heures.


Il s'offrait, ouvert aux assauts, aux envies, aux caprices d'Ondine. Elle n'avait qu'un seul but : lui faire lâcher prise sous ses caresses.


Etendu sur le dos, ses cuisses ouvertes l'attiraient. Elle s'y faufila telle une chatte. Leurs sexes face à face.


Ce furent ses pieds qui commencèrent le jeu. Les orteils d'Ondine vinrent s'infiltrer au creux de ses cuisses offertes, remontèrent jusqu'à l'endroit le plus chaud. Délicatement, elle longea son scrotum, titilla ses bourses, pour finalement jouer avec sa verge. Très vite celle-ci se redressa, comme pour voir ce qui se passait.


Il se laissait faire, la laissait faire. Complètement détendu, le corps soumis, le sourire aux lèvres.


C'est alors que les pieds d'Ondine engagèrent la bataille contre son intimité. Nichées au creux de ses petons, ses boules roulaient, chaudes, gonflées. Son sexe grandissait. Elle raffolait du spectacle, fascinée, comme une enfant devant un nouveau jouet qu'elle découvre.


Il avait fini par fermer les yeux, se concentrant sur son unique plaisir, telle était l'envie d'Ondine. Elle l'encouragea doucement à s'abandonner à ses caresses, à prendre ce que elle lui offrait. Telle était son plaisir, le voir jouir sous ses audaces.


Ses pieds montaient de son scrotum à son gland rougi et gorgé. La première goutte pointait. Elle riait. Lui avec elle.


Sa verge roulait sous les assauts répétés. Elle prenait un malin plaisir à recouvrir son gland pour mieux le décalotter. Ravie de le voir briller de plaisir.


Elle l'observait parallèlement. Son sourire, ses yeux clos, sa main ouverte à côté de sa hanche. Son autre bras vint recouvrir son visage. Il voulait lui cacher son plaisir. Par pudeur. Qu'importe, d'autres signes montraient à Ondine combien il appréciait.


Ondine accéléra le mouvement. Ses pieds s'agitaient, de sa verge à ses bourses, de ses bourses à sa verge. Raide, dur, humide. Elle s'émerveillait de ce qu'elle faisait, des effets que cela produisait. Il la laissait faire, elle savait qu'il s'abandonnait. Il lui faisait confiance. Elle ne le trahirait pas.


Ses mains courraient le long de ses cuisses. A l'intérieur. Elles remontaient dangereusement.


Ondine changea de position. S'assis sur ses talons. Ses mains remplacèrent ses pieds. Il riait. Elle continuait à l'inviter à se détendre, à profiter. Elle ne demandait rien en retour, elle voulait juste le voir jouir. De nouveau, il s'abandonnait.


Sa main s'empara de son pieu, raide, frémissant. Elle resserrait son étreinte et en sentait le gonflement. Elle riait de plaisir. Ondine s'afferait, tantôt chatte, tantôt chienne. Elle se concentrait sur ce dard dru dont le gland avait pris une couleur violacée, dont l'ouverture laissait perler une nouvelle goutte. Elle ne l'avait jamais vu si grand, si dur. Ses bourses étaient chaudes, rondes, malléables. Elle en aurait mangé. Mais pas aujourd'hui, pas maintenant.


A cet instant, Ondine vit le poing de sa main se crisper. Elle entendit sa respiration s'accélérer. Elle sentit sous ses doigts sa queue trembler. Elle l'encourageait. Laisse-toi aller. C'est cadeau. Son corps était secoué de spasmes. Il résistait. Il résistait encore. Ses phalanges étaient devenues blanches. Il  se mordait l'avant bras.


Ondine continuait ses caresses, accélérait, sentant le moment de la libération proche. Elle s'activait. Sa main se fit pourtant plus douce, son va et vient plus lent. Ondine pouvait sentir sa sève glisser dans sa verge sous la pression de ses doigts. C'était le moment, elle le savait.


Il s'abandonnait. Un souffle rauque. Un tressaillement. Un spasme. Elle courba sa queue vers son torse. Le jet parti,  atterrit entre ses tétons. Le jet parfait. Elle flatta sa queue gonflée pour encourager cette jouissance, continua ses caresses, de la garde  au bout de son gland.


Son poing s'était ouvert, sa bouche aussi. Un deuxième jet. Un troisième. Et encore. Le volcan s'essoufflait. La lave coulait sur les doigts d'Ondine. Elle était heureuse. Lui aussi. Elle posa son sexe encore fier sur le bas de son ventre. Il reprenait son souffle, son corps s'apaisait.


Ondine se leva pour saisir une serviette de toilettes. Il se redressa. Et sur le drap noir, il vit que la sève de son amante avait laissé sa trace. Celle-ci trahissait Ondine du plaisir qu'elle avait eu à le faire jouir par ses simples caresses.

Par blackevil - Publié dans : Le Journal d'Ondine - Communauté : Plaisir mutuel sans limite
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