Dimanche 14 janvier
7
14
/01
/Jan
00:49
- Tu aimes ?
- Oui ...
Derrière toi. Collée à toi. Je presse mes lèvres sur ta nuque.
Bouche entre-ouverte. Langue qui s'attarde.
Main sur l'épaule. L'autre qui cherche.
Je t'ai vu un matin. J'ai planté mes yeux dans les tiens. J'y cherchais des étoiles.
Tu parles. Tu n'arrêtes pas de parler. Tu me laisses jouer.
J'entends ta voix. Je ne t'écoute pas. Je profite de toi.
- Tu aimes ?
- Oui ...
Tu es si sage. Tellement à ma merci.
Je ne veux être que douceur. Je te respire. Je te reniffle. Tes cheveux. Ta peau.
Ma main frôle le haut de tes cuisses. Tu ressembles à un écolier. Nu. Presque apeuré.
Tu m'as souri. J'ai continué de te fixer. Elles étaient si belles, les étoiles dans tes yeux.
Tu continues de parler. Encore. Encore. Tu sais que je n'entends pas tes mots. Juste ta voix. Je t'entends. Toi. Pas tes mots. Je pose ma bouche sur la tienne. Tu continues à parler. Tes lèvres bougent sur mes lèvres. Dans un sourire. Presqu'un rire. Tu te joues de moi.
- Tu aimes ?
- Oui ...
à Suivre ...
Par blackevil
-
Publié dans : facàface
19
J'aime oui...
Bisous tendres.
bisous doux Ano
bisous tendres du dragon , la chute de tes reins serait bien mieux , ooups ...
je ris , je souris ...
je suis presque jalouse lol lol lol
bisous Dragon
J'aime, j'aime : j'aime aussi tes mains pareilles à des serpents qui se promènent sur mon ventre et son buisson, et deviennent gourmandes sur mon sexe durci...
J'aime quand je me retourne sentir ta vallée tiède s'inonder de ton suc, et mélanger nos langues...
J'aime quand ta bouche me soulage, puis que la mienne te découvre à son tour..
Pour t'emmener au plaisir avec le goût de l'amour... ANO.
Bref comme dirait Albert Samain (Le Chariot d'Or)
Quand je suis à tes pieds ...
Immobile et pieux, quand fervent je contemple
Ta bouche exquise ou flotte un sourire adoré,
Tes cheveux blonds luisant comme un casque doré,
Tes yeux penchés d'où tombe une douceur câline,
Ton cou svelte émergeant d'un flot de mousseline,
L'ombre de tes longs cils sur ta joue et tes seins
Où mes baisers jaloux s'abattent par essaims,
Quand j'absorbe ta vie ainsi par chaque pore,
Et, comme un encensoir brûlant qui s'évapore,
Quand je sens, d'un frisson radieux exalté,
Tout mon coeur à longs flots fumer vers ta beauté,
Toujours ce vain désir inassouvi me hante
D'emporter avec moi tes yeux vivants d'amante,
De les mettre en mon coeur comme on garde un bijou
Afin de les trouver à toute heure et partout.
Aussi quand je m'en vais, pour conserver dans l'âme
Encore un peu de toi qui brille, douce flamme,
Aux lèvres que tu tends vers mes lèvres d'amant
À longs traits, à longs traits, je bois éperdument
D'une soif de désert, vorace, inassouvie,
Comme si je voulais te prendre de ta vie ! ...
Mais en vain... car à peine une dernière fois
T'ai-je envoyé mon coeur suprême au bout des doigts,
En me retrouvant seul sur le pavé sonore
Dans la rue où là-bas ta vitre brille encore,
Je sens parmi le vent nocturne s'exhaler
Tout ce que j'avais pris de toi pour m'en aller...
Et de tout son trésor mon coeur triste se vide,
Car ton subtil amour, ô femme, est plus fluide
Que l'eau vive, qu'on puise aux sources dans les bois
Et qu'on sent, malgré tout, fuir au travers des doigts...
Bisous mouillés...
bisous doux Ano
Bisous
Moi aussi j'aime beaucoup . vivement la suite ...
Bisous cat
bisous Midori
Bisous......Piotr, homme bougie
Mémoire dune bougie
Je me souviens quand je suis devenue homme, quand il tronqua sa condition et me permit dendosser sa fonction.
Jétais une jolie bougie rouge, de belle taille... Hum, peut-être pas de la stature dun cierge, mais plutôt dune fort belle chandelle...
Je me souviens de ce sentiment de puissance, de pouvoir qui minonda, moi, simple flamme parmi les flammes, insignifiante flammèche qui allait dompter un volcan.
À lheure où je vous parle, je ne suis plus que le flamboiement dun souvenir, un moignon de paraffine rougeâtre, calciné et déformé posé sur le rebord de leurs consciences, mais, je me souviens...
Un tête-à-tête amoureux, des plats raffinés.
Un tête-à-queue damourette, des jeux paraffinés.
Quelle jouissance quand il me brandit comme un sceptre au-dessus de la femme attachée au montant de notre lit complice. Plus je me léchais les lèvres, plus mon envie brûlante noyait ses doigts cramoisis.
Quel homme ! Foin de souffrance, il goûtait, testait mes baisers quil allait offrir à son amour qui déjà se cabrait, se tendait vers nous.
Puis ce fut les préliminaires, mes préliminaires. Je la couvris de baisers en commençant par les pointes de ses mamelons tendus, gonflés, prêt à exploser. Je les recouvris dune gangue de pure douleur. Nouvelles ruades de mon aimée, elle râlait, elle suait, elle criait quelle nous aimait, moi... et mon homme.
De circonvolutions en circonvolutions, je la mordis de mes petites dents de soufre. Mon jus bouillonnant laissait des balafres vermeilles à la cicatrisation instantanée.
De petites touches en petites touches qui la firent se tendre comme une voile sous la tempête, Jarrivai devant ma destiné, devant léteignoir.
Elle haletait, elle connaissait ma position, mes envies. Elle subodorait les souffrances à venir, le plaisir quelle en retirerait. Elle sen délectait...
Puis vint ce moment de gloire, cet éternuement du temps qui fit de moi une verge chaude et luisante, un roi païen.
Là, mon homme me fit faire une pause, mais ma flamme était toujours gaillarde et mon sperme écarlate menaçait de déborder. Mon bienfaiteur minclina. Confrontation directe, tête à sexe, sexe à tête... et du con à lanus, mon jus recouvrit entièrement son intimité. Tremblement de chair, séisme et hurlement, jouissance pure... Et je la pénétrai et jamais ma mèche ne sen rallumera. Je la possédai en son sexe, entre ses reins, entre ses dents, entre ses seins. Je la pénétrai cent fois, mille fois, elle a joui, me noyant à son tour... et le retour express à la lumière, chute vertigineuse, le plancher, atterrissage douloureux, le sommier, loublie... et plus tard, la cheminée. Pauvre relique dans une soucoupe. Pauvre petite chose à la fonction détournée. Je voulus me prendre pour un Dieu et me suis brûlé le nez. Ce nétait pas moi quelle aimait...
bienvenue dans mon autre ailleurs Piotr :D
Je suis très sage
j'aime!!.....
Mais ne dit rien.........
Bisous sous ton St.. gaufré blanc...
Granit Rose
demain ... tu me diras demain .. où vont tes rêves ..
bisous Mon granit chéri