Samedi 20 janvier
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01:41
Toi vouloir être chat
Te frotter contre mes bas
Tu te feras angora
Pour te blottir dans mes bras
tu me jures tu n'boiras plus
Que du lait tu n'aimes plus
La vodka
Toi vouloir être chat
Tous les soirs quand tu me vois
Toi vouloir être chat
Retrouver sur les gouttières
Tes copines de litière
Mais toujours rester à moi
Prendre des mines chafouines
Te lécher les babines
Quand viennent mes copines
Toi vouloir être chat
Et ne risquer de mes doigts
Que leurs caresses sur toi
Toi vouloir être chat
Quand dehors il fait froid
Attendre ton repas
Tapi au creux de mes draps
Si un jour je préfère
A tes félines caresses
Les canines d'un chien en laisse
Je ne compte pas sur toi
Pour dormir sur le sofa
Tu me montreras de quoi
Est capable un gros chat
A ce jeu là tu es le roi
Et la souris ce sera moi
Et la souris ce sera moi
Et la souris ce sera
Les Pow Wo.
J'adore la sensualité de cette chanson.
Depuis la première fois où je l'ai entendu.
Pour un peu de moi, c'est sur ICI
Par blackevil
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Publié dans : blackevil-photos
21
Avant de filer déjeuner, eh oui à 16 h 30, lol (clin d'oeil)...
Moi bien vouloir être chat... Bisous miaulants...
Pour toi Ma Douce...
Pow Wow - Le chat
envoyé par YourSong
Euh, si ... sisi ... ben voilà je rougis ... si c'est bien à moi, c'est bien moi ...
un gros bisous à toi ...
Ou la rose d'amour fleurit à tes seins blancs... Bisous doux.
Dans l'air frais du matin (Albert Samain, Poèmes inachevés)...
Dans l'air frais du matin où s'effare la feuille,
Dans la jeune clarté des jours roses et bleus,
Dans la nuit solennelle et pure où se recueille
L'âme présente encor des bergers fabuleux,
Dans le cristal des eaux, dans le velours des mousses
Dans l'innocence en fleur des jardins radieux,
Dans le concert que font toutes les choses douces,
Je retrouve, ô ma soeur, la douceur de tes Yeux.
Le printemps odorant la divine féerie,
Le renouveau fêtant sa jeune volupté
S'incarne pour mon coeur dans ta robe fleurie
Et dans ton corps exquis comme un rêve sculpté.
Les Parfums, les Couleurs, la tendresse de vivre,
Le mois vierge baigné de souffles et d'encens,
L'enluminure d'or aux marges du Vieux Livre,
O mon âme, c'est dans ton coeur que je les sens.
Le désir qui palpite à travers la nature
Et s'élance en festons étoilés dans les bois,
Je le sens frissonner parmi ta chevelure
Et je le vibre entier, rien qu'à serrer tes doigts.
Ce qui couve d'ardeurs suaves et de fièvres
Au sein mystérieux de la création
Se ramasse en mon coeur pour jaillir vers tes lèvres
Et ruisseler dans l'ombre en adoration.
Voici venir les temps où tu marches déesse,
Où la rose d'amour fleurit à tes seins blancs,
Où ton nom murmuré fiance une caresse
A la suavité des narcisses tremblants.
Voici venir les temps où tes beaux yeux limpides
Semblent plus clairs encore et plus profonds qu'hier,
Et versent à mon coeur plein de songes virides
L'ivresse d'un lever de lune sur la mer.
Et les fleurs sont tes yeux, et la lumière blonde
Ton sourire, et le ciel bleu-frêle ta douceur,
Et tout l'amour fumant de l'encensoir du monde
Ta lèvre sur mon âme appuyée, ô ma soeur.
bisous ANo
jolie photo j'aimerais t'en étre un chat
ton chat pour me frotté a toi
biz
Humm......
Froler tes bas .....
J'en ronronne d'avance....
Miaouuuuuuu!...
Bisous douce souris
Albert Samain (dans "le chariot d'Or") aurait surement rajouter une rime en hommage à ces beaux seins blancs... Bisous palpitants...
Comme une grande fleur ...
Comme une grande fleur trop lourde qui défaille,
Parfois, toute en mes bras, tu renverses ta taille
Et plonges dans mes yeux tes beaux yeux verts ardents,
Avec un long sourire où miroitent tes dents...
Je t'enlace ; j'ai comme un peu de l'âpre joie
Du fauve frémissant et fier qui tient sa proie.
Tu souris... je te tiens pâle et l'âme perdue
De se sentir au bord du bonheur suspendue,
Et toujours le désir pareil au coeur me mord
De t'emporter ainsi, vivante, dans la mort.
Incliné sur tes yeux où palpite une flamme
Je descends, je descends, on dirait, dans ton âme...
De ta robe entr'ouverte aux larges plis flottants,
Où des éclairs de peau reluisent par instants,
Un arôme charnel où le désir s'allume
Monte à longs flots vers moi comme un parfum qui fume.
Et, lentement, les yeux clos, pour mieux m'en griser,
Je cueille sur tes dents la fleur de ton baiser ! ...
bisous Ano
Oui j'adore Albert Samain, pour son romantisme lyrique, et je trouve que ces poèmes te vont bien... Et Pierre Louys, dans un autre genre, pour ses tendres mondes érotiques... Bisous tendres...
Il m'a dit: « Cette nuit, j'ai rêvé.
J'avais ta chevelure autour de mon cou.
J'avais tes cheveux comme un collier noir
Autour de ma nuque et sur ma poitrine.
Je les caressais, et c'étaient les miens;
Et nous étions liés pour toujours ainsi,
Par la même chevelure, la bouche sur la bouche,
Ainsi que deux lauriers n'ont souvent qu'une racine.
Et peu à peu, il m'a semblé.
Tant nos membres étaient confondus,
Que je devenais toi-même,
Ou que tu entrais en moi comme mon songe.»
Quand il eut achevé,
Il mit doucement ses mains sur mes épaules,
Et il me regarda d'un regard si tendre,
Que je baissai les yeux avec un frisson.
Pierre Louys
bisous ano
bisous Guigui
bisous Miss