Vendredi 9 mars
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"T'as un si beau cul, dit-il avec l'accent guttural et caressant du patois. Y'en a pas deux pour en avoir d'aussi beau. C'est le plus beau cul d'femme du monde. Un vrai cul de femme, y'a pas à s'tromper. Pas un d'ces culs en noyau d'pêche qu'ont ces filles qu'on prendrait pour des gars ! Ton cul, l'est bien arrondi, le genre de cul qui plaît aux hommes, qui les prend aux trippes ! Un derrière à faire bander la terre entière !"
Tandis qu'il parlait, sa caresse effleurait les rondeurs qui, au bout d'un moment, communiquèrent à ses mains une sorte de feu liquide. Et le bout des doigts toucha les deux ouvertures secrètes de ce corps, tour à tour, en un doux effleurement de flamme.
"Et que tu chies ou que tu pisses, je m'en réjouis. Je n'ai rien à faire d'une femme qui ne peut ni chier ni pisser."
Connie ne put réprimer un brusque éclat de rire stupéfait, mais il continuait, imperturbable :
"Toi, t'es vraie, t'es vraie, même un peu salope. C'est par ici qu'tu chies, et ici qu'tu pisses. J'le ai tous deux en main, et c'est pour ça qu't'm'plais. Ton cul, c'est un vrai cul d'femme. Il a pas honte pour un sou !"
Il gardait fermement le main sur ses endroits secrets, comme s'il les félicitait intimement.
"J'aime ça, oui, pour sûr ! Et si j'savais qu'y ne m'reste que dix minutes à vivre pendant que je te caresse le cul, te vois, j'croirais avoir vécu toute une vie, système industriel ou pas ! J'ai là un de plus grands moment d'ma vie."
Connie se retourna, s'assit sur ses genoux et se colla à lui. Embrasse-moi ! murmura-t-elle.
Par blackevil
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Publié dans : littérature érotique
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Prenez pitié en mon aveu
C'est une langue que veux
C'est mon cul que je vous propose
Mon cul s'éveille au souvenir
D'une inoubliable caresse
Que m'enseigna une négresse
Dans un hôtel rue d'Aboukir
J'avais seize ans et des torsades
La noire me jugeant à point
Régala mon cul d'un schampoing
Plus savoureux qu'une enculade
Je porte aujourd'hui les cheveux
Roulés en chignon sur la nuque
Mais j'aime encore qu'on me trouduque
Car j'ai le sphincter très nerveux
Et j'ai gardé très peu de hanches
Afin de pouvoir exhiber
Le tralala le plus bombé
Des tralalas que l'on emmanche
Et mon anus est pour le doigt
Une merveilleuse alliance
Mais tu n'es pas bègue commence
Par le baiser que tu me dois
Je sens que ta langue pénètre
Et je décharge ô mon joli
Dufayel paierait cher peut-être
Pour voir ce qu'on fait dans son lit
merchi pour le poème d'Appolinaire.
gros bisous doux