Pas sûr Dragon que ce soit froid l’histoire de Cat, lol, c’est parce que c’est une femme qui se comporte "comme un homme" avec un mec, mais ce n’est pas froid du tout du tout, lol, ça doit même ensuite être très chaud,

j’ai vécu une aventure identique qui n’était pas froide…

"C’est l’été, je suis debout le long de la paroi d’un transport public, pour un bon moment… C’est bondé… Une femme est devant moi, en robe légère, j’hume son odeur agréable comme un animal instinctif… Son parfum discret se mélange à celui de son corps chaud… Tout à coup, sans aucun signe de nous deux, elle colle ses fesses contre mon ventre et tangue aussi doucement que discrètement, en prenant bien soin de jeter un œil furtif sur les autres passagers qui ne se doutent de rien… Objectif sans doute, me sentir bander, c’est rapidement réussi… Je risque discrètement une main par derrière sous sa robe, et l’enfouis délicatement sous son string… Sa chatte est tiède et déjà humide… Ses fesses s’écartent un peu pour aider mes doigts… Elle passe elle aussi une main derrière elle et la glisse dans mon pantalon, s’active avec dextérité sur mon membre durci et en feu… Sa tête bascule un peu sur moi sans se retourner, ses joues s’enflamment, ce qui passe inaperçu en cet été là et avec la chaleur de l’endroit… Je passe de sa fente palpitante à son œillet qui s’ouvre et se referme nerveusement comme l’œilleton d’une porte… Pendant ce temps, quand ses yeux ne se ferment pas un peu, c’est sa bouche qui s’entrouvre… Délicieux instant pour chacun, terriblement exitant au milieu de ces gens plongés dans leurs pensées… Tout ça dure un long moment, moi je lui ai déjà aspergé le fruit de ses caresses dans ces doigts fins, mais sa main reste caressante, et aime semble-t-il cette sensation gagnée… Soudain, je la sens fléchir aussi un peu sur ses jambes, ses fesses se resserrent brusquement, ses reins tressautent en m'écrasant légèrement contre la paroi… Plaisir intense pour elle à son tour… Elle regarde discrètement, comme elle le peut encore, à droite et à gauche… Autour chacun a le regard ailleurs, sans se douter… Un peu après je me retire de sa vallée du plaisir, elle enlève discrètement sa main, et se dirige près de la porte, comme si de rien n'était, prête à disparaître comme elle était venue… Il ne me reste que son odeur sur les doigts, suave, envoûtante, terriblement indécente, et brusquement inutile... Regrets frustrés... Mais quel moment intense d’un jour d’été…"

Ano.

Pour toi. Bisous.