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Pour le Centième Article,
les mots de George Sand à Alfred de Musset
(lettre à A. De Musset)
Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre.
Georges Sand
Commentaires
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J'arrive Ondine, hummm, miam (si ça passe deux fois vire un comme)... Bisous codés sur tes beaux seins ronds et chauds...
Comment se fait-il que je ne vois pas (ou ne veux pas voir) les lignes 4, 6, 8, 10, 14, 16, 18, 20, et 21... Rhaaaaaaaa....
mais ce n'est pas grave
bisous
ton blog est très beau cat et surtout ne te laisse pas démonter par la censure excessive et puritaine d'une société qui ne vois que l'horreur du corp sans en voir la beauté !!
bises
ce que je me suis demandée, si ces femmes en criant au scandale pour avoir osé montrer simplement notre vulve lorsque nous somme allongées sur le coté jambes serrés, n'avaient pas oublié que la vie naissait de là ... et que même si chaque vulve est différente, elle reste la naissance d'un monde à venir ...
enfin ... il faut croire que le graveleux est moins choquant ;) ... enfin ça je l'avais déjà compris ;)
bref, j'ai répondu à l'administration de ce site que si je pouvais comprendre la censure, je ne pouvais accepter d'être interdite de publication ... je n'ai pas trois ans, je n'ai pas besoin d'être punie pour une bande d'hypocrite bien pensante ... bref, j'ai demandé qu'il supprime mon compte. et j'ai bien sur repris mes autres photos.
Bisous
Merci à toi de nous faire partager tout ces textes !
Bises bises A++
J'avais posté cette correspondance sur mon blog
ici
Je l'avais recueillie sur le cahier de chanson de mon père.
J'ai trouvé aussi la suite .... Pour lire la réponse il convient de ne lire que les premiers mots
Quand je mets à vos pieds un éternel hommage Voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d'un cour
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots Vous saurez quel remède apporter à mes maux.
Bien à vous, Eric Jarrigeon
Cette insigne faveur que votre cour réclame
Nuit à ma renommée et répugne mon âme.
Il semble toutefois que cette histoire ne soit un faux, attribuée à Georges qui l'aurait écrit tantôt à Musset, tantôt à Chopin.Ah, au fait, j'allais oublier : cette lettre est un faux, une parodie d'un facétieux de la fin du XIXe siècle !
bisous Artémis
Lol Cat pour mon commentaire tout en haut, il est parti deux fois, donc je disais supprime en un,
ensuite les numéros que je donne sont les lignes du poème à faire sauter dans l'ordre de la lecture (la dame aussi d'ailleurs)... En lisant le poème et en gommant ces lignes (d'où mon jeu de mots : je les vois pas), les lignes qui restent sont aussi explicites que torrides... Miam...
Quand à l'hypocrisie des bien-pensants, ce n'est que le reflet de leur impuissance et de leur connerie, généralement, et de leur jalousie frustrée... Bisous doux.
salut
c'est quoi cette photo :?
c'est flasque pour un poisson d'avril , lol
bonne soirée
mais bon ... si tu trouves que j'ai le sein flasque je m'incline
bonne soirée
J'espère qu'il viendra ton prince. Je l'espère sincerement pour toi qu'il comprendra le message et qu'il viendra.
Bises.