Mercredi 4 avril 3 04 /04 /Avr 00:09
"Permets-moi d'embrasser ta bouche." Il m'a prise dans ses bras. J'ai hésité. J'étais en proie à des sentiments contradictoires : je désirais sa bouche, mais j'avais peur, j'avais l'impression que j'allais embrasser un frère, mais j'étais néanmoins tentée - terrifiée et pleine de désir. J'étais rendue. Il a souri et entrouvert ses lèvres. Nous nous sommes enmbrassés et ce baiser a libéré une vague de désir. J'étais couchée en travers de son coprs et ma poirtine sentait son désir, dur, vibrant. Autre baiser. Plus de peur que de joie. Joie de quelque chose d'imnommable, d'obscur. Lui, si beau - à la fois dieu et féminin, séduisant et buriné, dur et tendre. une dure passion.
"Nous devons éviter la possession, a-t-il dit, mais, oh !, laisse-moi t'embrasser." Il m'a caressé les seins et les bouts se sont durcis. Je résistais, je disais non, mais les mamelons durcissaient. Et quand sa main m'a caressée - oh ! quelle science dans ses caresses ! -, j'ai complètement fondu. Cependant, une aprt de moi demeurait rétive et terrifiée. Mon corps cédait à la pénétration de ses doigts, mais je résistais, je résistais à la jouissance. Je ne voulais pas montrer mon corps. Je me suis contentée de découvrir mes seins. J'étais timide et réticente, mais profondément troublée. "Je veux que tu jouisses, que tu jouisses, dit-il. Jouis." Et ses caresses étaient si précises, si subtiles ; mais j'étais incapable de jouir et, pour lui échapper, j'ai fait semblant. Je me suis à nouveau allongée sur lui et j'ai senti la dureté de son sexe. Il s'est découvert. Je l'ai caressé. Je l'ai vu trembler de désir.
Avec une étrange violence, j'ai enlevé mon négligé et me suis couchée sur lui.
"Toi, Anais ! Je n'ai plus de Dieu !"
Son visage extatique et moi folle de désir de m'unir à lui ... ondulant, le caressant, me collant à lui. Son orgasme fut terrible, de tout son être. Il s'est vidé tout entier en moi ... et mon consentement était sans limite, de tout mon être, avec seulement ce noyau de peur qui m'a empêchée d'aclater dans un suprême orgasme.
Ensuite j'ai voulu le laisser. Il y avait encore, dans quelque recoin secret de mon corps, un dégoût. Et il craignait ma réaction. J'avais envie de fuir.


sa première relation sexuelle avec son père ...





Pascal Renoux Les Amants
Par blackevil - Publié dans : littérature érotique
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