Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 00:30
Je voulais te montrer le désir que tu provoquais en moi, les envies que tu avais réveillées en moi, les émotions que tu avais fait surgir, juste parce que c'était toi.


Je me glissais contre toi telle une chatte assoiffée. Ma langue léchait le chemin qui la mènerait jusqu'à tes lèvres. Mes seins frôlaient ton torse. Tes mains parcouraient mon corps. J'aimais ça. J'adorais ça.

Je t'embrassais rageusement, avidement ... je me sentais sauvage ... Tu répondais à mes désirs, à mes secousses. Je décidais de te laisser un peu répis. Un court répis. Je voulais te donner, à toi, du plaisir, et prendre du plaisir de celui ci.  "Laisse toi faire, mon tendre. Prends ce que je te donne."

Tes mains se perdaient sur mon corps. Je m'assis de nouveau entre tes jambes, sur les talons. Tu caressais mes cheveux, pendant que je me penchais de nouveau sur ton sexe. Je le repris dans ma bouche. Je me concentrais sur ce bout de corps, ton bout de corps qui verrait exploser ta jouissance. Je te léchais doucement. Ton sillon d'abord, puis tes contours. Je refis le chemin de la naissance de ta verge à ton gland. Je pris celui-ci dans ma bouche. Quel plaisir s'éveillait en moi ! Quand je commençais à donner des petits coups de langue par où sortirait ta semence, je sentis tes mains se crisper sur ma tête. J'entendis ton souffle se faire plus rauque. Je t'enfournais, un peu ... pas trop. Je te sentais grossir de plaisir. J'étais satisfaite de ce que je produisais sur toi. J'étais heureuse d'entendre tes gémissements.

Je me sentais couler. J'inclinais la tête pour ne pas laisser en reste tes bourses. Je pris un immense plaisir à les tenir dans ma main, les faire rouler doucement, les serrer et finir par les lécher, les aspirer, les gober, pendant que de ma main libre, je pressais ta verge en sa base, provoquant un peu plus le gonflement de ton gland. Ma main la caressait. Je mis ma paume sur ta sensibilité. Tendu, mon tendre, tu étais tendu. Et j'adorais ça.

D'entendre ton souffle, tes gémissements, de voir ton sexe rempli de désir, au bord de la jouissance attisait mon excitation. Je sentais les prémices du plaisir envahir mon ventre au fur et à mesure que je t'en procurais. Mon sexe frétillait. Je mouillais. Tu te laissais complètement aller. Je te sentais au bord de la jouissance. Je continuais à m'occuper de toi, de ton bout. J'y mettais plus de vigeur, d'envie. Dans un souffle, tu me signalas  que tu allais jouir. Je t'encourageais ... tu jouis dans ma main au moment même où je jouissais. De te faire jouir me fit jouir. J'en fus toute étonnée, au point de lever la tête et de plonger mes yeux dans les tiens. Je n'avais jamais ressenti une chose pareille. J'étais quelque peu déstabilisée d'avoir joui, sans caresse. Joui d'avoir fait jouir. Ton regard m'encouragea à continuer de m'assouvir, puisque je t'assouvissais en même temps. Je continuais mon petit jeu afin de te vider de ta semence qui giclait dans ma main. Quand enfin, les jets cessèrent, je me penchais pour lapper les gouttes sur ta verge. Je la léchais comme une glace. Je me régalais de toi. J'étais heureuse  ...

C'était à mon tour d'être à toi ...


Par Ondine - Publié dans : Le Monde d'Ondine
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