Mardi 9 octobre 2 09 /10 /Oct 05:14

J’étais quelque peu gêné de me faire payer, de le faire payer pour le dépuceler. L’argent posé sur la table m’obsédait. J’éprouvais du désir pour ce mec aux yeux bleus profonds, mais mon job, ce soir, en tout cas, c’était de l’enculer pour 150 euros. Il y en a bien qui paye pour des épilations intégrales … Après tout, ce n’était pas mon problème ! A chacun ses expériences ! J’étais quand même déçu. Cela aurait été différent si le mec ne m’avait pas plu, si j’avais dû subir les assauts d’un mec qui m’aurait laissé indifférent, si j’avais dû me laisser fourrer par un mec qui m’aurait plus ou moins dégoûté.

 

Qu’importe, je devais chasser de mon esprit ce genre de considération. 150 euros. Un cul qui m’affolait, qui m’attendait. Au diable les scrupules !

 

Je l’obligeais à s’allonger sur le ventre, lui écartant les cuisses au maximum. Je lui massais les fesses, le léchais. Je l’attrapais par les hanches afin que son anus se tende vers ma bouche. Ma langue le fouillait, l’humidifiait. Mes doigts prirent le relais. D’abord un, puis deux. Je voulais le dilater, le préparer. Il se contractait, enserrant mes doigts. J’insistais. Ma main libre appuyait sur le bas de son dos, l’obligeant à se cambrer, à s’offrir un peu plus.

 

Je sortis mes doigts, ma bouche se posant sur sa raie, s’insinuant, se délectant. Ma main malaxait ses bourses, sa queue se tendait doucement. La mienne était raide, de plus en plus raide. Ma langue força le passage, s’engouffra, titilla … Il se dilatait … m’acceptait. Je me reculais, saisit la capote, et l’enfilait. Je lui lubrifiais l’anus, puis ma queue. Je continuais à le préparer avec mes doigts. Il gémissait, mais je pouvais sentir la crainte de la douleur. On aurait dit une vierge.

 

Je tapotais son petit cul de ma queue, faisant durer le plaisir … favorisant l’envie … l’attente de la pénétration. Je voulais qu’il demande, qu’il n’en puisse plus, qu’il supplie …

Je m’amusais aussi avec sa queue plus dure … Finalement, il y a quand même chez tous les hommes, un goût pour ceux de leur sexe, quoi qu’ils en disent … la curiosité reste la curiosité et amène parfois à des expériences que l’on pensait impossible pour soi.

 

Il respirait fort. Son cul se tendait. Il attendait, il m’attendait.

 

 « Viens ».

 

Je lui écartais bien les fesses, glissais le bout de mon gland juste à l’entrée de son œillet. Celui-ci se contracta sur mon bout, et m’excita encore plus. Je me gonflais. Je m’enfonçais malgré la résistance. Doucement, jusqu’à la base de ma verge. J’étais entièrement en lui. J’attendais de me sentir à mon aise. Mes mains accrochées à ses hanches. Je le maintenais.

 

Je me mis à remuer … d’avant en arrière … plus vite … plus doucement. Je voyais ses doigts agrippés sur la couette. Ses jointures étaient blanches tant il serrait.

 

« Détend toi. Laisse toi aller »

 

Les muscles de son œillet se contractaient sur ma verge, l’enserraient. Je me retenais de jouir. Je décidais de changer de position. Je sortais de lui, le mis sur le ventre.

 

Sa queue était dressée. Dure, droite. Je la pris dans ma bouche cherchant à le détendre. Je jouais, avec lui, avec ses nerfs, avec ses envies.

 

Je reculais. Je glissais mes cuisses sous son bassin. L’écartais comme s’il eut été une femme… Je glissais de nouveau ma queue dans son petit cul, maintenant ses jambes bien ouvertes. Je m’activais. Je voyais son visage, ses yeux … il cherchait les miens. Je lui souris. Je m’activais, il se détendait … J’accélérais. Ses yeux se fermèrent. Il m’acceptait, il acceptait … il finit par gémir. J’allais plus vite. Encore. Toujours. Je lâchais une de ses cuisses pour aller m’abattre sur sa queue. Je le masturbais en même temps que je l’enculais. Je la sentais trembler sous mes doigts ! Je sentais son oeillet frétiller. J’allais jouir … je me retenais … je m’enfonçais … plus profond, plus vite. Je sortis complètement. Entrais à nouveau … j’accélérais … il allait jouir … je me lâchais … je jouis … et lui jouis dans ma main.

 

Je restais en lui, le temps de bien me vider. J’approchais ma main dégoulinante vers sa bouche,  lui fis lécher sa semence.

 

Je me retirais sans un mot, le laissant là. Je pris mes fringues, le fric. La salle de bain. Une rapide toilette. Je partis sans repasser par la chambre. Sans un mot.

 


Par blackevil - Publié dans : blackevil-photos
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