« La rondeur de ton sein, secret

Comme une terre inconnue,
La douceur de ta peau nue,
Vers toi, l'air de rien, me fait dresser.
 
Là, étendue, lascive sur le lit,

Tes tétons dressés sur leur base dessinée,
Moi, je ne suis plus « seins » d'esprit,
Quand j'effleure tes globes pointés,
 
La soie de tes seins se confond au tissu,
Que j'écarte, libérant ainsi leur dôme,
Et toi frissonnante d'envie à ma vue,
Les sentant se blottir dans mes paumes,
 
« J'ai les seins qui pointent » dans un souffle, dis-tu,
Ma langue, de tes pieds, part à l'aventure,
D’un gémissement d'aise contenu,
Te pâmant, douce torture, tu endures,
 
L'odeur de ton corps blanc, sur lequel je glisse,
Fleur d'oranger mêlée
Aux effluves de ton entrecuisse,
Douceur suave de coquillage sucré-salé,
 
Ma langue devenant soudain pécheresse,
D’une main habile je cambre tes reins,
Pendant que de l'autre, j’écarte tes rondes fesses,
Pour que bien plus encore, tes seins se dressent,
 
C’est alors que ton bassin tangue comme un bateau ivre,
Que sous ma bouche, inspirée et sensuelle,
Tes sens gourmands s’enflamment et s'enivrent,
Rendant tes courbes généreuses encore plus belles,
 
Formes laiteuses, effluves de fleur d'oranger
Odeurs sucrées salées de tes vallées mouillées,
Tes doigts glissant sur ma verge pour toi dressée,
Le temps est notre, pour jouir et s'aimer. »
 
Pour toi mon coeur. Ton namoureux.

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