Eux
- mon Granit Rose (disparu)
- Midori
- Michka- Jedi
- Ma jolie tige ... Did
- little red dragon (adulte)
- Erwan, textes (adulte)
- Le monde de Chris ... reposant, la nature !
- Libido (adulte)
- Baggins, une poésie féérique
- Chuipala, Pas@part
- Claire des sens
- Le sanctuaire de A. (adulte)
- Patrick ... photos (adulte)
- Libertin un jour ... libertin toujours ?
- Claire et sens (adulte)
- Zaq
- Sandokan et ses dessins érotiques
- histoires sensuelles et érotiques de Max
- Galerie d'illustration, le Dragon 2
- Les photos de Max
- Les confidences de Muad'dib
- Artémis et ses éclats (adulte)
- Xiao Long (peintures)
Archives
- août 2009 (1)
- mai 2009 (6)
- avril 2009 (11)
- mars 2009 (10)
- février 2009 (10)
- janvier 2009 (4)
- décembre 2008 (4)
- novembre 2008 (11)
- octobre 2008 (24)
- septembre 2008 (25)
- août 2008 (31)
- juillet 2008 (20)
- juin 2008 (5)
- mai 2008 (6)
- avril 2008 (4)
- mars 2008 (7)
- février 2008 (6)
- janvier 2008 (15)
- décembre 2007 (16)
- novembre 2007 (15)
- octobre 2007 (16)
- septembre 2007 (17)
- août 2007 (14)
- juillet 2007 (16)
- juin 2007 (21)
- mai 2007 (22)
- avril 2007 (25)
- mars 2007 (25)
- février 2007 (19)
- janvier 2007 (9)
- décembre 2006 (10)
- novembre 2006 (10)
- octobre 2006 (8)
- septembre 2006 (2)
- juillet 2006 (4)
- juin 2006 (8)
- mai 2006 (4)
Samedi 12 mai
6
12
/05
/Mai
00:21
Je reste interdite par cette rencontre surprise. J'ai un peu peur de ce qui peut en découler. J'ai un peu peur de voir mes sentiments remontés à la surface. J'ai peur de me rendre compte que finalement je ne t'ai pas oublié. Que je n'ai pas cessé de t'aimer.
Tu sais comme je suis. Tu sais que je regarde, que j'observe. J'ai besoin de recul. Cela me protège. Alors tu ne forces rien. Tu te contentes de garder ma main dans la tienne, et nous suivons le petit chemin blanc poussiéreux.
Nous arrivons doucement au canal d'Orléans. J'aime à regarder les saules se pencher dangereusement sur l'eau pour s'y mirer. J'aime aussi ces maisons, souvent habitées par des parisiens, qui ne prennent vie que le temps des week-end.
Je ne suis pas sûre d'être vraiment là avec toi. J'entends que tu me parles, et déjà je suis loin. Déjà je t'ai laissé filer pour ne pas avoir à souffrir encore. Je ne suis pas sûre que tu vois ce qui m'arrive, je ne suis pas sûre que tu aies envie de le voir. Ce n'est pas grave. Ce n'est pas bien grave.
Nous nous retrouvons devant le petit restaurant. Tu proposes de nous poser là, un moment. Il fait beau. J'aime la chaleur des rayons du soleil sur ma peau. J'aime me taire et simplement profiter. J'acquiesse en hochant la tête. Nous nous asseyons côte à côte. Face à l'écluse. Nos bras se frôlent. Je n'éprouve rien. Pas d'émotions particulières. Pas de sensations étourdissantes. Pas de tourbillons dans le ventre. Non rien. Il ne se passe rien.
Pas tout à fait à vrai dire. Le manque physique. La chaleur. La douceur du moment. Tout est réuni pour faire et naître des images et naître des envies.
Je commençe déjà à me dissocier de cette réalité quand l'arrivée du serveur me ramène vers toi. Je commande naturellement un perrier citron. La seule chose qui me désaltére vraiment.
Tu sais comme je suis. Tu sais que je regarde, que j'observe. J'ai besoin de recul. Cela me protège. Alors tu ne forces rien. Tu te contentes de garder ma main dans la tienne, et nous suivons le petit chemin blanc poussiéreux.
Nous arrivons doucement au canal d'Orléans. J'aime à regarder les saules se pencher dangereusement sur l'eau pour s'y mirer. J'aime aussi ces maisons, souvent habitées par des parisiens, qui ne prennent vie que le temps des week-end.
Je ne suis pas sûre d'être vraiment là avec toi. J'entends que tu me parles, et déjà je suis loin. Déjà je t'ai laissé filer pour ne pas avoir à souffrir encore. Je ne suis pas sûre que tu vois ce qui m'arrive, je ne suis pas sûre que tu aies envie de le voir. Ce n'est pas grave. Ce n'est pas bien grave.
Nous nous retrouvons devant le petit restaurant. Tu proposes de nous poser là, un moment. Il fait beau. J'aime la chaleur des rayons du soleil sur ma peau. J'aime me taire et simplement profiter. J'acquiesse en hochant la tête. Nous nous asseyons côte à côte. Face à l'écluse. Nos bras se frôlent. Je n'éprouve rien. Pas d'émotions particulières. Pas de sensations étourdissantes. Pas de tourbillons dans le ventre. Non rien. Il ne se passe rien.
Pas tout à fait à vrai dire. Le manque physique. La chaleur. La douceur du moment. Tout est réuni pour faire et naître des images et naître des envies.
Je commençe déjà à me dissocier de cette réalité quand l'arrivée du serveur me ramène vers toi. Je commande naturellement un perrier citron. La seule chose qui me désaltére vraiment.
Moi
- Le Baiser de Rodin.
- Je suis (presque) déshabillée !
- Je me déshabille (deux)
- Je me déshabille (un)
- Rouge pourpre ... deuxième version.
- Rouge pourpre ... première version.
- Ô Mon Amour,
- Correspondance passionnée entre A. Nin et H. Miller (20)
- Correspondance passionnée entre A. Nin et H. Miller (19)
- La chaleur incite à ouvrir quelques boutons !
A vous de voir
-
jambesjeu-trois.jpg -
duocoquin.jpg -
-
-
-
duo-pazt-cat-de.jpg
Rangements
- Le Journal d'Ondine (4)
- blackevil-photos (260)
- Le monde de Blackevil (11)
- le coin des arts (2)
- littérature érotique (65)
- Le Monde d'Ondine (49)
- de vous (9)
- façamoa (3)
- façatoa (26)
- facàface (32)
Vous