Le Monde d'Ondine


Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 00:33

Je surveillais les bruits. Ils étaient mes seuls repères. Soudain deux mains s’abattirent sur ma croupe. M’écartant au maximum. Et je sentis sa verge, son barreau. Dur. Je le sentis à la porte. Il s’introduisait. J’étais contractée. J’essayais de me détendre. Je me mordais la lèvre inférieure. J’avais mal. C’était trop gros. Trop gros. Je respirais fort. Relâchais mon corps. Il me fallait l’accueillir. Je me détendis. Le bout était entré. Je me détendis un peu plus. Il entra plus loin. Je me détendis encore. Il était là tout entier. Je le savais. Son ventre sur mes fesses.

 

Mon souffle était coupé. Je me disais que le plus dur était fait. Je redoutais cependant qu’il bougeât. Je redressais légèrement le buste. Plus de confort. Il n’avait rien dit. Il resta là. Je sentis qu’il attendait. Qu’il m’attendait.

 

A mon aise. Je me mis à remuer le bassin autour de sa queue emprisonnée dans mon œillet. Il me caressa les reins. Jean pris alors les choses en main. Je m’abandonnais totalement. Je n’avais le contrôle de rien. Ma respiration se fit plus rauque. J’entendais la sienne. Je continuais d’écouter. De l’écouter.

 

Il accéléra. Sa main glissa dans mon con. Remonta vers mon clito. Il me branlait fort. Je mouillais fort. Je gémissais fort. Je jouis au moment où j’entendis sa jouissance. Un cri étouffé dans un souffle. Deux ou trois coups de reins supplémentaires pour se vider complètement. J’étais épuisée. Il resta en moi. S’écrasa sur mon dos. Sa bouche sur mon oreille. « Comment vas-tu, ma Douce ? ».

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Dimanche 9 décembre 7 09 /12 /Déc 00:28

Il ne me laissa pas jouer longtemps. Il s’écarta assez brutalement, d’ailleurs. Je le perdis de vue. Je fermais de nouveau les yeux. Ses humeurs changeantes me fatiguaient. Je ne voulais pas me laisser submerger par cela, sinon je ne profiterais pas de cette soirée. Sinon je m’enfermerais sur moi-même. J’entendis le déchirement de l’emballage d’un préservatif. Quelques secondes plus tard, je sentis sa queue sur mes fesses. Je sentis une main au creux de mon dos. Une main qui écrasait le bas de mes reins pour me faire tendre le cul.

 

Une autre main m’avait soulevé une cuisse. Je le sentis alors glisser en moi. Doucement. Jusqu’à la garde. J’avais l’impression qu’il touchait mon fond. Je contractais mon ventre pour mieux le sentir. J’inspirais un grand bol d’air. Les yeux fermés, je relâchais l’étreinte de mon ventre autour de sa queue.

 

Il remua en moi doucement. L’impression qu’il faisait le tour de mon con. Puis la danse commença. Avant arrière. Arrière avant. Je restais muette. Dans mon corps. Dans mes gémissements. J’attendais. Il accéléra. Je ne pus réprimer un cri rauque . Sa main avait glissé sous mon genou, m’obligeant à m’ouvrir plus. Il me labourait. Je gémissais à travers mes lèvres que je mordais. Il sortit de moi. Et je sentis ses doigts me pénétrer. Je savais ce qu’il allait faire. Il les lubrifiait. Les remonta jusqu’à mon œillet. Il le caressa. Força le passage. Son pouce d’abord. Il explorait. Un doigt. Deux doigts.

 

Il engouffra sa queue une nouvelle fois dans mon con. J’étais à l’écoute de mon corps, de mes sensations. J’étais à l’affût de ses gestes. Il repris le mouvement. J’étais très excitée. Je savais que je mouillais fort. Pendant que son dard me fouillait, son pouce s’occupait de mon autre ailleurs.

 

Puis plus rien. Plus de doigts jouant dans l’œillet. Plus de queue labourant le con. Plus de mains. Plus rien.

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Mercredi 5 décembre 3 05 /12 /Déc 00:23

A ce contact, mon corps se raidit. Mes jambes restèrent fermées. Ses mains expertes parcouraient mon dos, effleuraient mes mains liées, suivaient le sillon de mes fesses. Il arracha littéralement mon string, ne laissant que le porte jarretelle et les bas. Je n’aurais pas imaginé qu’il fut si impatient, si animal, en fait. J’avais continué de me taire. J’avais fini par ne plus ouvrir les yeux. J’attendais. Soumise.

 

Une de ses mains écarta mes cuisses. Je savais qu’il serait inutile de résister. Je n’en avais nulle envie. Ses doigts me caressaient. Doucement d’abord. Puis ils me pénétrèrent. J’ignore combien Jean en introduisit en moi. Plus d’un, la seule chose dont je fus sûre. Cela me fit ouvrir les yeux de surprise. Un gémissement étouffé. C’est sa langue que je sentis ensuite. Je ne savais dans quelle position il était. Je sentais seulement ses coups de langue. Sa bouche aspirer mon clito, tirer mes lèvres. Sa langue entrer dans mon con. Ses mains caressaient maintenant mes cuisses dans un mouvement de va et vient. Je respirais plus fort. Je n’étais pas confortable. Mes seins lourds écrasés sur la table. Je me redressais légèrement.  Il cessa alors son jeu. Vint à ma hauteur. Je vis son ventre, sa queue dressée là, sous mon nez, devant mes yeux. Je la regardais, sa queue, fière. Il était si proche. J’approchais la tête. En saisis le bout. Ce fut à son tour de pousser un gémissement de plaisir.

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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 06:07

Jean posa ses mains sur mon ventre, m’encerclant. Son nez enfouit dans mon cou. Je n’avais pas bougé. Je regardais la scène dans le reflet de la baie vitrée. Je nous regardais. Etait ce vraiment moi qui, malgré mes doutes, le laissais me toucher ? Etait ce vraiment moi qui allait lâcher prise ? Oui j’allais être égoïste. Oui j’allais le laisser me donner le plaisir. Me concentrer sur moi, uniquement sur moi. Sur moi et mes envies. Et peut-être même l’oublier, lui.

 

Il me mordillait le lobe de l’oreille droite tout en remontant ses mains vers mes seins. Le peignoir s’était écarté. Habillement, il fit jaillir mes mamelons de leur prison de dentelle. Ma respiration s’accéléra. Je fermais les yeux. Savourant.

 

Ses mains redescendirent vers mon ventre. Plus audacieuse, l’une d’elle glissa dans mon string, caressant ma chatte. L’autre était remontée, emprisonnant mon sein gauche. Elle en pinçait doucement le téton. J’entrouvris la bouche, laissant échapper un soupir de plaisir. J’inclinais la tête, l’invitant à des baisers.

 

Jean cessa ses caresses. Il fit glisser totalement le peignoir. J’ouvris les yeux, mais ne voyais que partiellement ce qu’il faisait. L’étoffe n’était pas tombée à terre. Ses mains ne courraient plus sur mon corps. Je ne dis mot. J’observais. Je vis soudain la ceinture blanche dans le reflet. Il la posa sur son épaule. Défit mon soutien gorge. Il saisit mes mains et les attacha dans mon dos. Je le laissais faire. Consentante. Confiante ... je ne sais pas.

 

Jean surveillait mes réactions dans le reflet, lui aussi. Il souriait d’un bien étrange sourire. Je restais impassible. Curieuse de la suite. Il se décida à saisir le lien, m’obligeant à me retourner. Il se mit à me sucer les lèvres. Brutalement. Je n’aimais pas. Au début. Mais à l’écoute de mes sens, force m’était de reconnaître que ses baisers profonds, exigeants me faisaient frémir. Sa langue provoquait la mienne. Elle réclamait. Mon cerveau était concentré sur cette partie de moi. Ma langue, mes lèvres, sa bouche. Je le léchais. Parfois j’allais jusqu’à le mordre.

 

Durant ce jeu lingual, il nous avait fait avancer. Je ne me rendis compte de cela qu’au moment où il se recula. Sans ménagement, il me retourna, m’écrasa sur la table-bureau. C’était froid, c’était dur. C’était excitant.

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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 00:05

Je regardais mon reflet dans le miroir. Mes yeux brillants de plaisir. Ma bouche rougit par ses baisers. Mes joues en feu des images qui me traversaient.

 

Et pourtant. En me voyant ainsi je ne pouvais m’empêcher de me demander si c’est ce que je voulais, si j’avais vraiment envie de ça. D’être une parmi d’autres. Une au milieu des autres. Et pourquoi pas, une … faute de mieux.

 

Je m’agaçais de ces questions qui s’imposaient à moi. Je n’arrivais pas à me libérer des blessures faites par un autre homme. Certains des mots de Jean, certaines de ses attitudes me renvoyaient à ses souffrances passées dont je n’arrivais pas à me libérer.

 

Je fis couler un peu d’eau chaude. Y glissais mes mains. J’avais envie. Il me fallait me rendre à l’évidence, j’avais envie de lui. J’aimais ce moment de partage. J’aimais ça. Je devais me moquer du reste. Oublier le reste. Ne vivre que l’instant. Je saisis le savon. Le portais à mon nez. L’odeur douce m’envahit. Je fermais les yeux.

 

Je commençais à me déshabiller lentement. Le miroir me renvoyait mon image. Dessous ivoire, porte jarretelle, bas.

 

Je me rafraîchis. J’enfile le peignoir blanc. J’ignorais combien de temps j’avais passé là …

 

Il m’attendait assis sur le lit. Il souriait. Le peignoir s’était entrouvert, laissant apparaître mon décolleté. Son regard s’attarda. Je cessais de bouger. Jean se leva, pris de nouveau ma bouche et disparu à son tour dans la salle de bain.

 

Je me dirigeai vers la baie vitrée. Au passage, j’éteignis les lumières. J’écartais les légers rideaux. Je posais les deux mains sur la vitre. Je regardais dehors. Le pont illuminé se refléter sur la Loire. Les arbres presque nus. Et son reflet à lui, derrière moi, sur la baie. Je souris. Nos deux visages là … ensemble … temps suspendu.

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