Le Monde d'Ondine


Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 18:39


Les mains de Foncine couraient sur Ondine, insistant sur ses seins, triturant ses tétons sans relâche, lui arrachant des petits gémissements d'aise. Quant à moi, ma verge se tendait comme un cerf, toujours un peu plus, je la flattais pour me soulager, j’avais envie de les rejoindre, d’empaler Ondine pendant que Foncine la caressait, mais je devais attendre, le ventre en feu, en me branlant doucement pour me faire patienter… Je n’en pouvais plus de sentir l’odeur de leurs corps, l’odeur sucrée de leurs mouilles je devenais fou de désir… Mais comment Foncine savait-elle que les seins d’Ondine étaient l'un de ses points "faibles" ? Mystère...


Fontaine (1)
Fontaine (2)


Par blackevil-valmont - Publié dans : Le Monde d'Ondine
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires

Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 14:59

Décidemment, je ne comprenais plus... Je restais interdit, fasciné par ses deux femmes, provocatrices à souhait.  Elles faisaient de moi, le spectateur privilégié de leurs jeux ... peut-être feraient-elles de moi leur partenaire privilégié ... Foncine tenta de prendre la bouche d'Ondine, qui se déroba, quelque peu gênée, laissant toutefois échapper un petit rire coquin... Mais à quoi jouaient-elles ?

 

Ondine, dans un soupir, nous lança : "J’accepte de faire l'amour avec vous deux, mais à la seule condition que vous vous occupiez de moi exclusivement. Foncine, je ne veux pas que tu joues avec Eros, je veux que tu joues avec mon corps, mes sens. Je veux que vous me fassiez jouir, je veux que vous vous concentriez sur mon seul plaisir, m’offrant ainsi le luxe d'une totale passivité, à moins que je ne change d'avis". Il y a longtemps que je t’aime …

 

Je n'en revenais pas. Mais l'idée de partager mon amante, de la laisser être le jouet d’une autre femme sous mes yeux, de pouvoir participer à cette débauche des sens, dans l’unique but de combler ses désirs m’excitait au plus au point. Je ne ressentais aucune frustration à la pensée que je ne serais pas le jouet de ces deux femmes, que toutes mes attentions, mes forces devront se concentrer sur la femme que j’aime. Assister à ce spectacle, y participer me faisait bander autant que cela m’intimidait. Jamais je ne t’oublierai   


 



Illustration de Bécat.

Fontaine (1).

Par blackevil - valmont - Publié dans : Le Monde d'Ondine
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires

Samedi 3 mai 6 03 /05 /Mai 17:38
A la Claire Fontaine
En allant promener

J'ai trouvé l'eau si claire
Que je m'y suis baignée ...


Je me retournais brusquement dans le lit. Avais-je sommeillé ? Je n'étais pas sous les feuilles d'un chêne en train de me faire sécher, il n’y avait pas de hautes branches, pas de rossignol ... Il y a longtemps que je t’aime … Ondine était là, étendue sur le côté, nue, lascive, caressant de sa main son sexe au duvet blond, lentement, me regardant avec douceur. Jamais je ne t’oublierai … Je sursautais... Au bord du lit, une autre créature se trouvait assise : Foncine, qui partageait avec Ondine bien des "secrets de filles", aussi brune que ma tendre était blonde... à la claire fontaine … Foncine, une jeune femme aux idées libertines, facétieuse comme Ondine, songeais-je, rêveur … m’en allant promener ... Que faisait-elle là ? Instinctivement, je rabattais pudiquement le drap sur moi, au moment où elle se décidait à poser sa tête sur l'épaule d'Ondine, me fixant langoureusement tout en laissant glisser sa main sur les seins de notre amie... Je ne comprenais plus. J’ai trouvé l’eau si belle … Ondine bascula la tête vers l’arrière, dans un soupir : "Mes seins qui pointent ! Que tu as les mains douces !", gémit-elle, s’offrant avec sensualité, aux mains habiles qui pétrissaient ses seins, s'attardant sur les tétons, les pinçant doucement... que je m’y suis baigné …

 

A suivre ...

 

 


Michael Bergt, Dream Time.




Par blackevil / Valmont - Publié dans : Le Monde d'Ondine
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires

Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 00:52

Sa main n’était pas pressée. Elle se montrait dangereusement efficace. Ses doigts comme sa langue avait la sensibilité de l’autre. Et cet autre, à cet instant, c’était moi. Moi. Juste Moi. Et personne d’autre. Lui et Moi. Jean et Moi.

 

Je répondais à ses baisers. Sa bouche engloutissait la mienne. Ma langue le fouillait. Cherchait la sienne. Duel. Mon souffle court. Mon buste soulevé pour mieux se rapprocher du sien. Ma chatte offerte, gourmande aux chatteries de ses doigts.

 

Son torse était maintenant sur ma poitrine. Mes seins écrasés par sa puissance. Je sentais son cœur battre contre le mien. Je sentais sa queue raide contre ma manche. Je sentais son souffle chaud contre ma joue. Je sentais ses doigts m’explorer. Encore.

 

J’entendais sa respiration rapide. J’entendais le mouvement de ses hanches contre la mienne. Je n’entendais que nous.

 

Les battements de mon cœur s’étaient accélérés sous l’effet de ses caresses. Sa bouche avait glissé vers mon oreille et me chuchotait des douceurs, m’invitant à poursuivre la danse de mon bassin, m’invitant à m’offrir plus, m’ouvrir plus. M’invitant à l’accueillir totalement. Mon corps répondait à ses demandes. Sans question. Sans peur. Confiant.

 

Sa main continuait sa caresse. Son pouce avait fait durcir mon clito, provoquant une suave brûlure. Ma respiration s’accélérait au rythme d’effleurements plus pressants. La brûlure devenait insoutenable de plaisir.

 

Si mon corps s’accordait à ses mots susurrés au  creux de mon oreille, ses doigts semblaient régis par le son de mes gémissements. Je réagissais à sa voix, sa main réagissait à la mienne.

 

Je n’y tenais plus. J’étais au bord de m’évanouir. Sa caresse s’accélérait. Je ne savais plus si c’était moi qui me frottais à elle ou si c’est elle qui m’investissait. J’essayais de reprendre mes esprits, de retrouver un peu de contrôle, mais c’était impossible … mon esprit n’entendait que la voix, mon corps que la main. Je lâchais prise. Une grande inspiration, presque désespérée. Mes jambes s’écartaient à leur maximum. Mon bassin réclamait l’ultime caresse libératrice. Il se soulevait comme une bouche assoiffée se tend vers la pluie salvatrice. Je gémissais plus fort, plus vite. J’étais entrain d’imploser. D’exploser. Je ne savais plus.

 

Un long son aigu s’échappa de mes lèvres. Mon corps suspendit son mouvement sous l’effet. Surpris de cette voix qu’il ne semblait pas reconnaître. La main, elle, continuait sa caresse. Un autre cri plus court s’échappa. Je jouissais. Je jouissais dans sa main.

 

La voix avait cessé. Je n’entendais plus que le battement accéléré de mon cœur qui bondissait sous mon sein.

 

La main se fit moins exigeante, plus suave. La bouche avait quitté l’oreille pour prendre la mienne. Plus doucement aussi. Mon corps répondait encore aux caresses de la main.

 

C’est à ce moment que je me rendis compte que mes propres doigts s’étaient enfoncés dans ses épaules au moment de la jouissance. Qu’ils n'avaient pas lâché l'étreinte, après la jouissance.

 

C’est à ce moment là que j’ai su que mon corps se souviendrait toujours de cette double chatterie … que mon âme se souviendrait toujours de la voix animant le corps … des gémissements animant la main …

 

C’est à ce moment que j’ai su que Jean m’avait donné ce que j’avais rêvé.

Par Ondine - Publié dans : Le Monde d'Ondine
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires

Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 00:42

[…]

 

Nous étions étendus sur le grand lit de la chambre d’hôtel. Je ne saurais dire s’il m’avait convaincue ou si tout simplement je m’étais faite désirée. Je ne saurais dire pourquoi ce soir-là, j’avais accepté son invitation alors que je l’avais si souvent repoussé pour d’autres amants, d’autres aventures.

 

Nous étions étendus sur le grand lit. Le premier désir assouvi. Le premier assaut passé. Nous avions désormais le temps de nous découvrir.

 

La chaleur de son corps nu contre le mien m’emplissait d’une agréable torpeur. J’écoutais sa voix suave me raconter des mots doux. Je fermais les yeux pour mieux m’enivrer de lui. Je le sentis changer de position. Je le sentis glisser le long de mon corps. Puis sa main. Sa main qui effleurait mon pied. Délicatement. Les orteils, le creux de la voûte, la cheville. Une caresse douce que j’aimais plus que tout.

 

Sa main remonta doucement le long de mon mollet. S’arrêtant pour, du pouce, caresser le derrière de mon genoux. Je relevais légèrement la jambe. L’écartant.

 

C’est à ce moment que Jean pencha la tête. Que sa bouche se mit à suçoter mon sein. Une véritable chatterie. Sa langue excitant mon téton. Ses lèvres l’aspirant. Provoquant une légère douleur qui se transforma vite en une sensation de plaisir.

 

La main avait repris son exploration. Elle gravissait doucement l’intérieur de la cuisse. La bouche ne cessait de s’abreuver. Mon corps se tendait de plaisir. Se cambrait pour s’offrir.

 

La main, puissante, précise, arriva à destination. Elle frôla mes lèvres. Excitant mes sens. Je ne savais plus où donner de la tête. Je m’enflammais. Mes seins. Mon sexe. Je me perdais sous ses lèvres, sous sa main.

 

Au moment où celle-ci prit possession de mon intimité, sa bouche avait quitté mon sein pour s’approprier ma bouche. Je gémissais dans son souffle. Je m’offrais.

Par Ondine - Publié dans : Le Monde d'Ondine
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires

A vous de voir

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus