Le Monde d'Ondine


Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 00:33

Je me réveillais d’un grand sourire plaqué sur le visage. Les souvenirs de la veille en tête. Le moment avec Lui.

 

 Il était arrivé au moment exact où je sortais de la douche. Je transpirais d’envies, de caresses, de gestes d’amour. Assise face à lui, ma serviette avait commencé à glisser doucement. Dévoilant d’abord mon dos que je cambrais au maximum, volontairement, pendant que je frottais mon sexe déjà humide, sur le bord du banc. La serviette avait continué de glisser. Il s’était approché, puis accroupit pour s’occuper de mon intimité. De ses mains sur mes hanches, il accompagnait la danse de mon bassin sous les effets de ses lèvres sur les miennes, de sa langue forçant le passage de mon antre. Tout le plaisir pour moi. De son souffle chaud entre mes cuisses, les yeux fermés, je me laissais envahir par les sensations de bien être, la douce jouissance de cette complicité inattendue et pourtant espérée. Ses coups de langue sur mon mont de Vénus, ses doigts s’appropriant ma boite de Pandore, je gémissais, un peu plus, un peu plus fort, me contractais dans un souffle rauque pour finalement jouir dans sa bouche, sur ses lèvres.

 

Comme une vierge effarouchée, je m’empressais d’empoigner ma serviette pour la nouer. Il se relevait en souriant me permettant de voir la protubérance de son pantalon. Nous étions face à la fenêtre, sans rideau. La nuit tombait doucement. Il appuya sur l’interrupteur. Les voyeurs allaient pouvoir en profiter.

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Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 00:30
Je voulais te montrer le désir que tu provoquais en moi, les envies que tu avais réveillées en moi, les émotions que tu avais fait surgir, juste parce que c'était toi.


Je me glissais contre toi telle une chatte assoiffée. Ma langue léchait le chemin qui la mènerait jusqu'à tes lèvres. Mes seins frôlaient ton torse. Tes mains parcouraient mon corps. J'aimais ça. J'adorais ça.

Je t'embrassais rageusement, avidement ... je me sentais sauvage ... Tu répondais à mes désirs, à mes secousses. Je décidais de te laisser un peu répis. Un court répis. Je voulais te donner, à toi, du plaisir, et prendre du plaisir de celui ci.  "Laisse toi faire, mon tendre. Prends ce que je te donne."

Tes mains se perdaient sur mon corps. Je m'assis de nouveau entre tes jambes, sur les talons. Tu caressais mes cheveux, pendant que je me penchais de nouveau sur ton sexe. Je le repris dans ma bouche. Je me concentrais sur ce bout de corps, ton bout de corps qui verrait exploser ta jouissance. Je te léchais doucement. Ton sillon d'abord, puis tes contours. Je refis le chemin de la naissance de ta verge à ton gland. Je pris celui-ci dans ma bouche. Quel plaisir s'éveillait en moi ! Quand je commençais à donner des petits coups de langue par où sortirait ta semence, je sentis tes mains se crisper sur ma tête. J'entendis ton souffle se faire plus rauque. Je t'enfournais, un peu ... pas trop. Je te sentais grossir de plaisir. J'étais satisfaite de ce que je produisais sur toi. J'étais heureuse d'entendre tes gémissements.

Je me sentais couler. J'inclinais la tête pour ne pas laisser en reste tes bourses. Je pris un immense plaisir à les tenir dans ma main, les faire rouler doucement, les serrer et finir par les lécher, les aspirer, les gober, pendant que de ma main libre, je pressais ta verge en sa base, provoquant un peu plus le gonflement de ton gland. Ma main la caressait. Je mis ma paume sur ta sensibilité. Tendu, mon tendre, tu étais tendu. Et j'adorais ça.

D'entendre ton souffle, tes gémissements, de voir ton sexe rempli de désir, au bord de la jouissance attisait mon excitation. Je sentais les prémices du plaisir envahir mon ventre au fur et à mesure que je t'en procurais. Mon sexe frétillait. Je mouillais. Tu te laissais complètement aller. Je te sentais au bord de la jouissance. Je continuais à m'occuper de toi, de ton bout. J'y mettais plus de vigeur, d'envie. Dans un souffle, tu me signalas  que tu allais jouir. Je t'encourageais ... tu jouis dans ma main au moment même où je jouissais. De te faire jouir me fit jouir. J'en fus toute étonnée, au point de lever la tête et de plonger mes yeux dans les tiens. Je n'avais jamais ressenti une chose pareille. J'étais quelque peu déstabilisée d'avoir joui, sans caresse. Joui d'avoir fait jouir. Ton regard m'encouragea à continuer de m'assouvir, puisque je t'assouvissais en même temps. Je continuais mon petit jeu afin de te vider de ta semence qui giclait dans ma main. Quand enfin, les jets cessèrent, je me penchais pour lapper les gouttes sur ta verge. Je la léchais comme une glace. Je me régalais de toi. J'étais heureuse  ...

C'était à mon tour d'être à toi ...


Par Ondine - Publié dans : Le Monde d'Ondine
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Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 08:44
Ce n'était pas notre premier baiser. Et pourtant, celui-ci était unique. Il signifiait un tournent dans notre relation.


Le baiser se fit plus insistant de part et d'autre. Nos mains commencèrent à s'agiter, à caresser, à imprimer. Nos corps se réveillaient, s'exprimaient.


Je sentais ton sexe durci pressé contre mon ventre. Je ne résistais pas à l'envie de m'écarter. Je détachais mes lèvres des tiennes. J'embrassais ton menton, ton torse, tes tétons. Je te lèchais comme la chatte que je suis. Je me reculais, plantais mes yeux dans les tiens, puis les baissais.

J'aimais le spectacle de ton corps éveillé à tes envies. Offert aux miennes. J'aimais regarder ton vit fier, dru. J'en avais si souvent rêvé, de ce spectacle.

Je me rapprochais. Je te saisis doucement, à pleine main. Je voulais que tu saches que tu étais à moi. Je repris ta bouche tout en flattant l'objet de mon désir. Tu te laissais faire. Tu me laissais faire. Je te fouillais, je voulais connaître chaque coin chaque recoin. Tu suivais mes jeux.

Tes mains frôlaient mon dos, mes hanches, ma croupe. J'étais tendue vers toi. J'aimais la chaleur de tes mains qui éveillait la mienne. J'avais la sensation de bouillir, de frémir. Je crois que je tremblais.

Je glissais ma bouche sur ton ventre. Ma langue jouait avec ton petit nombril en goutte d'eau. Je me régalais. Je poursuivis ma descente, embrassais doucement ton pubis, la base de ta verge.

J'étais maintenant à genoux, face à toi. Tu chuchotas, de ta voix la plus douce : "Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux." Je ne répondis rien. Je rougis. Je me sentais audacieuse, remplie d'envies. Je me sentais vivante, belle dans tes yeux, sous tes mains.

Je me glissais entre tes jambes, m'assis sur les talons. Je mis mes genoux sous tes fesses, écartant tes cuisses. Je me baissais, te pris dans ma bouche. J'embrassais ton bout. Ma langue glissa le long de ta verge jusqu'à ton scrotum. J'aspirais tes bourses, me délectant. Je me sentais devenir humide. Mon sexe frétillait d'excitation. Je prenais tant de plaisir à tant te donner.

D'une main, je caressais tes fesses bien rondes. Ma bouche lacha ta verge pour embrasser ton ventre. Tu me laissais décider. Tu souriais. Je voulais prendre du plaisir en t'en donnant. Juste cela ... pour le moment. Je voulais te montrer le désir que tu provoquais en moi, les envies que tu avais réveillées en moi, les émotions que tu avais fait surgir, juste parce que c'était toi.


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Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 00:47
Je sentis ta main sur ma hanche. Je me penchais pour saisir mon nécessaire. Une caresse sur tes fesses, et à mon tour, j'allais me rafraichir. Je n'avais pas levé les yeux vers toi. Je n'avais pas voulu regarder ton corps simplement vêtu d'une serviette nouée autour de ta taille.


Je n'avais que lui
en tête. Je n'avais, en tête, que ce que j'attendais depuis que ma vie avait croisé la sienne. Il allait être à moi. A moi toute seule. J'allais faire de lui ce que je voulais. Je n'avais jamais éprouvé cela. Avant lui, je ne pensais qu'à ce que mon partenaire voulait. Je m'oubliais pour satisfaire l'autre. Avec lui, je ne pensais qu'à ce que, moi, je voulais, qu'à mes envies de lui, pour lui. Je savais qu'il ne me briderait pas. Je savais que je pourrais satisfaire mes envies avec lui, mes envies de lui. Je savais qu'il voulait tout, que je voulais tout. Je lui faisais confiance.

Une douche tiède. Le doux parfum de la fleur d'Oranger. Une touche de crème pour adoucir la peau. La nuisette chocolat que j'avais choisi, en pensant à lui, glissa sur ma peau rafraichie. Volontairement, je n'avais mis aucun dessous. Pas aujourd'hui. Pas envie d'artifices. Pour notre première fois, je voulais volupté et plaisir, désir et jouissance. Je voulais l'état brut.

Je me décidais enfin à le rejoindre. A la fois heureuse et rougissante. Dès que nos regards se croisèrent, ils se stimulèrent. Je rougis encore plus. Je finis par baisser les yeux. Non pas honteuse des images qui me traversaient l'esprit. Non. Je baissais les yeux, étonnée des audaces qui me traversaient.

Il était étendu calmement sur le matelas. Je souris. Il avait gardé la serviette nouée sur ses hanches. Celle-ci, entre-ouverte, ne cachait nullement son appendice.

Tu t'es redressé sur un coude. La serviette céda, m'offrant ton corps entièrement dénudé. Je m'approchais timidement. Tu me tendis la main, m'invitant à être confiante. Tu m'attiras à toi, me pris délicatement entre tes bras. Je nichais tendrement ma tête au creux de ton épaule. Je te respirais, je ne voulais rien perdre de toi. Je voulais t'imprimer dans ma chair, dans mon âme. Nos corps n'étaient séparés que par ma nuisette. Tu commenças par embrasser doucement mon front, puis mon nez et enfin, ma bouche.

Ce n'était pas notre premier baiser. Et pourtant, celui-ci était unique. Il signifiait un tournent dans notre relation.
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Dimanche 12 août 7 12 /08 /Août 00:51
Une belle journée d'été.

Nous nous connaissions depuis quelques temps déjà. Et nous étions restés bien sages. Trop sages. Je me languissais de toi. Je rêvais de toi. Je rêvais de ton corps, de tes courbes. Je rêvais de mes mains sur toi. Je rêvais de ma langue sur toi. Je rêvais.

Et puis tu as proposé ce petit week end. A l'aventure. Nous avions attéri dans une chambre d'hôte tout à fait pittoresque. La femme qui nous avait accueilli, était tout à fait charmante et avenante.

Elle nous mena dans une chambre rustique, à l'étage. Nous riions aux éclats, collés l'un contre l'autre. La femme nous laissa rapidement, un sourire entendu aux lèvres, nous signalant simplement que le dîner serait servi à 20h. Nous avions ainsi du temps devant nous, du temps pour nous.

Une fois la porte refermée, nous nous écroulâmes sur le lit qui se mit à grincer. La surprise nous fit nous regarder, puis partir dans un fou rire. J'avais l'impression de retrouver ces vieux lits à ressorts qui couinaient au moindre mouvement.

Je te laissais là, étendu sur le dos, après un bisous tendre au coin de ta bouche. Me dirigeant vers la fenêtre en bois blanc, je jetais un regard circulaire à la pièce, découvrant un mobilier d'antan plein de chaleur. Je souriais. J'étais heureuse.

Je me retournais, m'appuyant contre le mur. Je te regardais. Tes yeux rivés dans les miens me donnaient de l'audace. Tu te levas d'un bond, pris ta trousse de toilette, me déposa un baiser sur le nez et parti dans la salle de bain.

Tout se bousculait dans ma tête. Je ne rêvais plus. Enfin, nous allions vivre notre intimité. Enfin, j'allais partir à ta découverte. Je me sentais égoïste. Je ne pensais qu'à ce que je voulais faire de toi, ce que je voulais pour toi. Mon ventre était plein de papillons. Je ne ressentais ni crainte ni peur. Une légère appréhension. Je n'imaginais rien. Je  savais que mes envies de toi, pour toi me porteraient.

Je sentis ta main sur ma hanche. Je me penchais pour saisir mon nécessaire. Une caresse sur tes fesses, et à mon tour, j'allais me raffraichir. Je n'avais pas levé les yeux vers toi. Je n'avais pas voulu regarder ton corps simplement vêtu d'une serviette nouée autour de ta taille.
Par Ondine - Publié dans : Le Monde d'Ondine
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