Vendredi 16 mars
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00:46
Par blackevil
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Publié dans : littérature érotique
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Vendredi 9 mars
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09
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01:30
"T'as un si beau cul, dit-il avec l'accent guttural et caressant du patois. Y'en a pas deux pour en avoir d'aussi beau. C'est le plus beau cul d'femme du monde. Un vrai cul de femme, y'a pas à s'tromper. Pas un d'ces culs en noyau d'pêche qu'ont ces filles qu'on prendrait pour des gars ! Ton cul, l'est bien arrondi, le genre de cul qui plaît aux hommes, qui les prend aux trippes ! Un derrière à faire bander la terre entière !"
Tandis qu'il parlait, sa caresse effleurait les rondeurs qui, au bout d'un moment, communiquèrent à ses mains une sorte de feu liquide. Et le bout des doigts toucha les deux ouvertures secrètes de ce corps, tour à tour, en un doux effleurement de flamme.
"Et que tu chies ou que tu pisses, je m'en réjouis. Je n'ai rien à faire d'une femme qui ne peut ni chier ni pisser."
Connie ne put réprimer un brusque éclat de rire stupéfait, mais il continuait, imperturbable :
"Toi, t'es vraie, t'es vraie, même un peu salope. C'est par ici qu'tu chies, et ici qu'tu pisses. J'le ai tous deux en main, et c'est pour ça qu't'm'plais. Ton cul, c'est un vrai cul d'femme. Il a pas honte pour un sou !"
Il gardait fermement le main sur ses endroits secrets, comme s'il les félicitait intimement.
"J'aime ça, oui, pour sûr ! Et si j'savais qu'y ne m'reste que dix minutes à vivre pendant que je te caresse le cul, te vois, j'croirais avoir vécu toute une vie, système industriel ou pas ! J'ai là un de plus grands moment d'ma vie."
Connie se retourna, s'assit sur ses genoux et se colla à lui. Embrasse-moi ! murmura-t-elle.
Par blackevil
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Publié dans : littérature érotique
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Mardi 6 mars
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06
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00:14
Elle ouvrit la porte et regarda le lourd rideau de pluie, pareil à un rideau d'acier. Le besoin de s'y précipiter et de s'enfuir la saisit. Elle se leve, enleva hâtivement ses bas, sa robe, ses dessous. Il retint son souffle. A chaque mouvement Connie faisait frémir ses seins effilés de jeune animal. Le jour verdâtre lui donnait des tons d'ivoire. Elle enfila ses chaussons de caoutchouc et se précipita dehors avec un rire aigu, offrant ses seins à la lourde pluie avec des mouvements de danse rythmique qu'elle avait appris aux jours lointains de Dresde : étrange silhouette pâle qui s'élevait et retombait, se courbait pour recevoir la pluie de plein fouet sur ses hanches pleines et luisantes, se balançait pour revenir ventre en avant sous la pluie, s'inclinait de nouveau de telle sorte que seuls les reins et les fesses s'offraient à l'homme comme un hommage, renouvelant un rite de soumission primitive.
Il eut un petit rire et se dévêtit. C'en était trop. Nu et blanc, frissonnant un peu, il s'élança sous la pluie drue et oblique. Flossie se jeta devant lui en aboyant avec frénésie. Les cheveux trempés et collés sur la tête, Connie tourna vers lui un visage tout échauffé et l'aperçut. Elle fit demi-tour et, ses yeux bleus brillants mouvement de charge hors de la clairière et le long du sentier, fouettée par les rameaux mouillés. Elle courait, et lui ne voyait que cette tête trempée, ce dos trempé, incliné dans la fuite, ces scintillantes fesses rondes : merveilleuse nudité féminine effarouchée dans sa fuite.
Elle était presque arrivée à l'allée cavalière quand il la rattrapa pour enserrer de son bras nu la tendre taille nue et mouillée. Connie émit un cri, se redressa et vint plaquer contre le corps de l'homme la masse froide et tendre de sa chair. Il pressa follement contre lui cette masse froide et tendre de chair féminine, que le contact rendit immédiatement aussi brûlante qu'une flamme. Leurs deux corps fumaient sous le ruissellement de la pluie. Dans chaque main il reccueillit les belles fesses lourdes de la femme et les pressa contre lui sous la pluie, dans une immobilité fiévreuse et vibrante. Brusquement, il la fit basculer, tomba avec elle au milieu du chemin, dans le silencieux rugissement de la pluie, et vif et bref, il la pénétra, vif et bref et assouvi, comme un animal.
Par blackevil
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Dimanche 18 février
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/Fév
00:49
" Les yeux du monsieur allongé sur le dos dans le lit étaient éclairés par la lampe placée près de l'oreiller. Il a redressé brusquement la tête. Je ne savais plus où me mettre. Puis il a repoussé l'édredon en silence et je me suis souvenue des paroles de mère.
J'ai enlevé l'obi et gardé mon kimono de dessous fermé solidement par une ceinture large et rigide, rouge et blanc, et je me suis assise au bord du futon. Le monsieur m'a saisie vigoureusement aux hanches pour m'attirer dans le lit. Je suis tombée à l'horizontale et me suis retrouvée, je ne sais trop comment, couchée de tout mon long sur le dos, le corps toujours crispé.
Sans préambule, il a brutalement, ouvert mon jupon. J'ai fermé les yeux ... Comme vous savez, je n'avais pas de culotte. Je l'ai senti monter sur moi et écarter de force mes cuisses serrées. Qu'est-ce que c'était ? Qu'est-ce qu'il m'arrivait ? Je ne comprenais rien.
J'ai soulevé un peu les paupières pour regarder ce qu'il faisait à califourchon sur moi. Il s'est mis à tripoter mon sexe. Ca faisait un drôle de petit bruit. Il a continué longtemps ... Je me demandais ce qui se passait quand tout à coup, il a fait trois mouvements du bassin.
Je sais maintenant que cet homme devait être très excité. L'édredon avait complètement glissé en dehors su lit et son yukata est venu se plaquer contre mon visage et ... ah ... ahhh ! J'ai eu mal et j'ai senti mon sexe qui me brûlait.
Mais il est fou ? C'est ça, le mizu-age ? Bouleversée, je haïssais cet homme. Il restait sans bouger et pesait lourd sur moi. La large ceinture raide de mon kimono était remontée et m'oppressait la poitrine. J'avais l'impression que cela avait duré une éternité, et pendant tout ce temps, j'avais gardé les bras le long du corps. Du début à la fin. J'étais resté aussi inerte qu'une poupée.
Après s'être laissé tomber près de moi, il a essuyé mon sexe avec une serviette en papier, desserré les doigts de mon poing droit puis levé ma main jusque devant mes yeux.
- Tu as eu mal ?
Le papier était taché de sang. Que pouvais-je répondre ? Je pensais qu'il était brutal et qu'il m'avait blessé. Il n'a prononcé que ces trois mots ce soir-là. C'est absolument tout ce qu'il m'a dit ! Ensuite, il a remonté l'édredon sur lui, m'a tourné le dos et sans une parole de plus, s'est endormi."
Mémoires d'une Geisha, Inoue Yuki.
Par blackevil
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Publié dans : littérature érotique
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Vendredi 16 février
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16
/02
/Fév
00:21
Amour ta tendresse
Est comme une lame
Dont tu me transperces
Où je m'empale
Ne sois pas cruel
Je rends les armes
Prête à tout
Pour que tu me gardes
Par blackevil
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Publié dans : littérature érotique
7
Vous